Cinéfondation 2016, le palmarès
La 19ème édition de la Cinéfondation a dévoilé les quatre courts métrages que son jury a décidé de récompensé cette année.
La 19ème édition de la Cinéfondation a dévoilé les quatre courts métrages que son jury a décidé de récompensé cette année.
La Cinéfondation a choisi, pour sa 19e édition, 18 films (14 fictions et 4 animations) parmi les 2300 qui ont été présentés cette année par des écoles de cinéma du monde entier. Quinze pays venus de trois continents y sont représentés dont des écoles de Bosnie-Herzégovine et du Venezuela qui voient pour la première fois l’un de leurs films retenu en sélection.
En 2015, la section Un Certain Regard ouvrait ses portes avec « Les Délices de Tokyo » (An) de Naomi Kawase. La réalisatrice japonaise retrouvera Cannes en mai prochain à la tête du Jury de la Cinéfondation et des Courts métrages pour sa 69e édition.
Cannes, encore… Aujourd’hui et demain soir, la Cinéfondation, la section consacrée aux films d’écoles, débarque à la Cinémathèque française au détour du cycle Cinéma de poche. L’occasion de découvrir les films des réalisateurs sélectionnés cette année, en présence de Georges Goldenstern et Dimitra Karya (représentants de la Cinéfondation).
Le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages présidé par Abderrahmane Sissako et composé de Cécile de France, Joana Hadjithomas, Daniel Olbrychski et Rebecca Zlotowski, a décerné ce vendredi les prix de la Cinéfondation lors d’une cérémonie salle Buñuel, suivie de la projection des films primés. La Sélection comprenait 18 films d’étudiants en cinéma choisis parmi 1 593 candidats en provenance de 381 écoles dans le monde.
La Sélection Cinéfondation a choisi, pour sa 18e édition, 18 films (14 fictions et 4 animations) parmi les 1 600 présentés cette année par des écoles de cinéma du monde entier. Seize pays venus de quatre continents y seront représentés cette année à Cannes.
Le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako, auteur du très beau « Timbuktu », en compétition à Cannes l’an passé, présidera le Jury de la Cinéfondation et des Courts métrages à l’occasion de la 68e édition du Festival (13-24 mai 2015).
À l’occasion du Jour le plus Court, visionnez en exclusivité deux films du dernier Festival de Cannes, « Leidi » de Simón Mesa Soto, la Palme d’or du court métrage et « Lievito Madre » de Fulvio Risoleao, 3ème Prix ex aequo de la Cinéfondation en 2014.
La Cinéfondation, créée en 1998 par le festival de Cannes, soutient les nouvelles générations de cinéastes. Dans le cadre de ses séances « Cinéma de poche », la Cinémathèque française, reprend cette année pour la première fois l’intégralité des courts et moyens sélectionnés par la Cinéfondation au Festival de Cannes.
Meryll Hardt est née en 1984 dans l’Est de la France et finit bientôt ses études au Fresnoy. Contrairement à beaucoup d’auteurs de sa génération, elle veut prendre le temps d’explorer et de se poser pour mieux créer. C’est ce qu’on ressent lorsqu’on découvre son court-métrage « Une vie radieuse », sélectionné à la Cinéfondation : un voyage et une réflexion à travers plusieurs disciplines artistiques, au fil de plusieurs époques. Rencontre avec la réalisatrice sur la terrasse du Palais du Festival, un jour de grand vent.
Entouré de ses collègues (Noémie Lvovsky , Daniela Thomas, Mahamat-Saleh Haroun, Joachim Trier), Abbas Kiarostami, Président du Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages, a rendu public hier soir, lors de la cérémonie de clôture du Festival de Cannes, la Palme d’or du court métrage ainsi que deux mentions. Deux jours plus tôt, le même Jury annonçait les gagnants de la Cinéfondation.
« Stone Cars » captive notre attention dès la première image qui nous est donnée, sans introduction aucune. On y est confronté, en plan très serré, à une main masculine se faufilant sous une jupe d’écolière, aussitôt repoussée.
« Skunk » est un court métrage de fin d’études écrit et réalisé par Annie Silverstein de l’université d’Austin au Texas, présenté à la Cinéfondation, section compétitive du festival de Cannes qui regroupe des films issus de différentes écoles de cinéma à travers le monde.
Cette année, la Cinéfondation a choisi 16 titres parmi 1631 films présentés par les écoles de cinéma du monde entier. Sur ces 16 films en compétition, trois nous parviennent d’écoles françaises dont il n’est plus la peine de faire la réputation tant elles sont représentées dans la grande majorité des plus grands festivals. Il s’agit de La fémis, Supinfocom Arles et Le Fresnoy.
La Cinéfondation a choisi seize films (14 fictions et 2 animations) parmi les 1631 qui ont été présentés cette année par les écoles de cinéma du monde entier. Le champ d’investigation s’étend encore cette année, avec 38% d’écoles en sélection pour la première fois ainsi qu’un pays, l’Egypte, jamais représenté auparavant. Autre bonne nouvelle ; plus de la moitié des films de cette édition, 9 sur 16, ont été réalisés par des femmes. Les trois Prix de la Cinéfondation seront remis lors d’une cérémonie précédant la projection des films primés le jeudi 22 mai, salle Buñuel.
Après Jane Campion, Michel Gondry et Atom Egoyan, c’est au tour de Abbas Kiarostami de prendre la présidence du Jury 2014 de la Cinéfondation et des Courts métrages du prochain festival de Cannes. Le réalisateur et scénariste iranien sera entouré de Noémie Lvovsky (France), Daniela Thomas (Brésil), Mahamat-Saleh Haroun (Tchad) et Joachim Trier (Norvège).
Parmi les 18 films d’étudiants mis de côté cette année par Dimitra Karya, directrice de la sélection de la Cinéfondation, figurait un film belge de l’INSAS traitant avec humour de la fratrie et de ses (dés)illusions. « En attendant le dégel » (c’est son nom) a obtenu à Cannes le deuxième prix de la Cinéfondation des mains de Jane Campion et de son jury (Maji-da Abdi, Nicoletta Braschi, Nandita Das et Semih Kaplanoğlu). Au lendemain de la remise des prix, Sarah Hirtt, la réalisatrice et Jean-Jacques Rausin, l’un des trois comédiens du film, reviennent sur leurs parcours, leurs envies et leur lien au court.
Deuxième prix de la 16ème édition de la Cinéfondation présidée par Jane Campion, « En attendant le dégel » est le film de fin d’études de la jeune cinéaste Sarah Hirtt, ancienne étudiante à l’INSAS, en Belgique.
Le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages présidé par Jane Campion et composé de Maji-da Abdi, Nicoletta Braschi, Nandita Das et Semih Kaplanoğlu, a décerné vendredi après-midi les prix de la Cinéfondation lors d’une cérémonie salle Buñuel, suivie de la projection des films primés. La sélection comprenait 18 films d’étudiants en cinéma choisis parmi près de 1 550 candidats en provenance de 277 écoles dans le monde.
Martha a vécu toute sa vie dans un ranch des hautes plaines canadiennes. Maintenant que sa mère n’est plus là et que son ivrogne de père a vendu son cheval, il ne reste plus grand chose pour la retenir. « Going South » (Vers le Sud), le film de Jefferson Moneo, en compétition à la Cinéfondation 2013, dresse le portrait d’une nation en mouvement, et d’une jeune femme au regard triste, un regard tourné vers l’horizon.