I comme In Loving Memory
Une lettre d’amour des limbes du souvenir où se mêlent charme rétro des pellicules Super 8 et science-fiction futuriste.
Réal. : Jacky Goldberg
Fiction, Expérimental, 10′, 2011
France
Une lettre d’amour des limbes du souvenir où se mêlent charme rétro des pellicules Super 8 et science-fiction futuriste.
Réal. : Jacky Goldberg
Fiction, Expérimental, 10′, 2011
France
Qu’elle ne se vexe pas et vous, chers lecteurs, n’allez pas y voir une dénomination péjorative. Si on peut comparer Christelle Lheureux à un OVNI, c’est avant tout parce qu’il est difficile de la mettre dans une seule et même case cinématographique.
Sous le soleil et dans la neige, elle lui raconte le rêve de la veille. Il lui parle pour la première fois de cette nuit où, dans la montagne, lors d’une randonnée au flambeau, son frère disparût.
Réal. : Christelle Lheureux et Sébastien Betbeder
Fiction, Expérimental, 12′ 2009
France
Bien partie pour devenir illustratrice, Emilie Mercier est devenue animatrice grâce à une petite annonce évoquant le festival Anima. Son premier film, « Bisclavret », mêlant vitrail, lai et (in)fidélité, a remporté le Prix Média et le Prix Emile Reynaud au dernier festival de Bruz. Entretien autour des bonds dans le temps, des univers propres aux auteurs et du langage des oiseaux.
Suzan et Duayne Cleveland ont tout pour être heureux. Tout… sauf une vie sexuelle épanouie. En désespoir de cause, ils décident de partir dans le désert pour un voyage initiatique sensé raviver leur flamme. Pendant qu’ils sont partis, leurs deux employés chargés de s’occuper de la maison vont connaître une passion torride dans leur chambre à coucher… d’où la tempête.
Réal. : Juliette Marchand et Laurence Arcadias
Animation, 11’25 », France
2011
Une fois n’est pas coutume. La critique d’un film, fidèle à son histoire, s’exprime en rimes.
Une dame, épouse d’un Baron, s’aperçoit que son mari s’absente souvent et le questionne : il lui avoue qu’il se dénude et devient Bisclavret. Transformé en loup, il saccage, pille et tue. Effrayée et prise de dégoût, la dame révèle ce secret à un chevalier qui lui fait la cour depuis longtemps…
Réal. : Emilie Mercier
Animation, 14′, 2011
France
C’était l’invité discret, attentif et incontournable du festival d’animation de Bruz. Venu avec sa compagne, la scénariste Anik Le Ray, présenter leur film commun, « Le Tableau », sorti en salle en novembre, Jean-François Laguionie, bien connu en courts (« La demoiselle et le violoncelliste », « Une bombe par hasard », « L’acteur », « La Traversée de l’Atlantique à la rame », …) et en longs (« Gwen ou le Livre des Sables », « Le Château des singes », L’île de Black Mór ») est revenu sur sa rencontre avec Paul Grimault, le travail du mime, l’importance de l’animation, de l’émotion et du dessin libre.
On dit que les chiens ne veulent pas causer de chagrin à leurs maîtres et qu’ils quittent leur maison quand ils sentent leur mort approcher. Personne n’a jamais vu où meurent les chiens. Où vont-ils ? Nul ne le sait.
Réal. : Svetlana Filippova
Animation, 12′, 2011
France
Dans le huis clos d’une salle de bain, une jeune femme happée dans l’engrenage de son quotidien tente de trouver la sérénité, un temps perdu.
Réal. : Flora Molinié
Animation, 3’32 », 2011
France
Adapté d’une nouvelle « Douchetchka » de Tchekhov. Au gré des intempéries, La Douce perd et trouve de nouveaux compagnons. Si la perte de l’un la désempare sincèrement, elle se console très vite avec un autre. Tous font l’affaire, ce qu’elle cherche avant tout, c’est de pouvoir s’oublier et ressembler à l’autre.
Réal. : Anne Laricq
Animation, 8’50 », 2011
France
Au fond d’une tranchée de la Première Guerre Mondiale, un soldat paralysé par la peur tente de s’évader en transposant la guerre dans un monde jouets.
Réal. : Pierre Ducos, Bertrand Bey
Animation, 8’30 », France
2011
Depuis la nuit des temps, les hommes ont cherché à s’extraire et à se séparer de la nature, vécue comme hostile et dangereuse. Aujourd’hui, la frontière entre la ville où vivent la majorité des êtres humains et la nature devient tellement étanche que la campagne se transforme en un lieu de fantasme et représente le paradis perdu. C’est le cas du petit village des Pyrénées investi pendant les vacances par Manuel, environ 35 ans et Myrtille, sa fille de 5 ans, enfant curieuse et intelligente.
Un soir de fête dans un village isolé des Pyrénées. Un père et sa fille de cinq ans, Myrtille. Des adolescents, un chasseur, un berger, des lucioles, des brebis et des chats. Un monde nocturne où des histoires d’ombres chinoises, de miroir magique et de peintures préhistoriques s’entremêlent. Dans la nuit, un être préhistorique vient chercher Myrtille.
Réal . : Christelle Lheureux
Fiction, expérimental, 45′, 2011
France
Lauréate du Prix Format Court du festival de Vendôme, Christelle Lheureux est une cinéaste et plasticienne française, diplômée du Frenoy, enseignante aux Beaux-arts de Genève, dont le nom est bien connu des cinéphiles et amateurs d’arts. Avec une œuvre très personnelle d’une sensibilité éblouissante, Christelle Lheureux est une des rares réalisatrices qui réussit à véritablement exploser les genre. « La Maladie blanche », son moyen-métrage primé à Vendôme, se situe entre fiction et documentaire, préhistoire et actualité, réalité et songe. Par sa démarche, Christelle Lheureux questionne l’art cinématographique lui-même.
L’Odéon Dancing n’est pas une succursale cachée du théâtre de l’Odéon dans le 6e arrondissement de Paris mais un dancing situé en Haute-Garonne où Kathy Sebbah, dont c’est le quatrième court, a installé sa caméra.
A l’Odéon dancing, toutes les fins de semaine, on s’enlace et on guinche, on s’essouffle et on sue. Ici, les codes sont précis. Marcette, novice, va découvrir cet univers clos. Elle s’attend à vivre une nuit particulière. Et elle le sera.
Réal. : Kathy Sebbah
Fiction, documentaire, 25′, 2011
France
« Petite pute ». Un titre pareil avec le visage d’une jeune femme brune dont le regard est plombé par des cheveux longs. Cela a son effet. Et l’on peut trouver cet effet facile. Ou bien se dire : après nous avoir allumés de cette façon, la réalisatrice Claudine Natkin et son actrice Laurie Lévêque, ont plutôt intérêt à « assurer ». Lorsque nous rencontrons la comédienne principale au Festival du Film de Vendôme (du 2 au 9 décembre 2011), Laurie, 27 ans – mais qui en paraît dix de moins dans le film – assure la promotion de « Petite pute » réalisé par Claudine Natkin.
« Sous la lame de l’épée » de Hélier Cisterne, « Petite pute » de Claudine Natkin et « Une île » de Anne Alix.
Dans son lycée parisien, Tom, d’origine chinoise, est un élève studieux qui fait partie du décor. Son aptitude à se faire oublier lui donne une nécessaire liberté.
Réal. : Hélier Cisterne
Fiction, 13′, 2011
France