Pour acheter les médicaments dont sa mère a besoin, Victor a recours, avec son père, à une solution violente et risquée. Sur le terrain de la pauvreté, la lutte pour la survie peut être cruelle et porter irrémédiablement atteinte aux valeurs humaines.
Réal. : Igor Colibeanski
Fiction, 14′04 », 2013
Moldavie, Roumanie
Fanny et Simon, deux jeunes gens d’à peine vingt ans fuient une zone industrielle et s’enfonce dans la campagne. La découverte, en pleine nature, d’un téléphone portable qui semble les appeler va les entraîner dans une étrange aventure…
Cet été, Format Court a décerné un nouveau prix lors de la 37ème Festival du Film Court en plein air de Grenoble au film « Le Skate moderne » réalisé par Antoine Besse. Ce film très court tourné en Dordogne, avec des copains et des skates, sans producteur ni contraintes, a séduit notre jury par son amour de la glisse, son originalité, son clin d’oeil à Raymond Depardon et son humour de situation. Dans le cadre du prix, le film a été projeté à notre dernière séance Format Court, le jeudi 9 octobre 2014 au Studio des Ursulines (Paris, 5ème).
Un homme armé, à la tête d’une foule en colère, se rend à la cabane d’un pestiféré pour l’en chasser.
Réal. : Aritz Moreno
Fiction, 6’16 », Espagne
2013
« Let Me Down Easy » (« Laisse-moi tomber simplement»), un bien joli titre pour le court-métrage de Matthew De Filippis et Elisia Mirabelli, présenté ces jours-ci dans la section Focus Québec/Canada du festival du nouveau cinéma de Montréal.
Entre rites païens et initiation, la longue nuit d’un groupe d’adolescents qui affrontent leurs démons intérieurs. Une plongée haletante vers onirisme et envoûtement.
Réal. : Elisia Mirabelli, Matthew De Filippis
Fiction, 2014, 16′
Canada
La 11ème édition de Court-Métrange s‘est clôturée ce samedi 18 octobre , à Rennes. Le jury Format Court (composé de Sylvain Angiboust, Julien Beaunay, Georges Coste et Julien Savès) a remis à cette occasion le Métrange du Format Court au film suédois « A Living Soul » d’Henry Moore Selder, parmi les 29 films de la compétition internationale.
À l’occasion de la sélection de son dernier film « Shadow » à l’Etrange Festival, nous avons rencontré son réalisateur, Lorenzo Recio. Il nous parle entre autres de la genèse du film et de son tournage à Taipei, mais aussi des multiples interprétations que l’on peut trouver dans le film. Pour les parisiens, le film est projeté ce jeudi 9 octobre lors de la séance Format Court spéciale Grenoble.
Douze femmes sur piste de danse. Boule à facette et plancher ciré, robes de soirées et chaussures à talons, tout est prêt pour enflammer la piste mais les partenaires de danse ne sont pas au rendez-vous.
Réal. : Edith Depaule
Fiction, 17′, Belgique
2014
C’est au cœur de Casablanca que prend place ce film poignant présenté cette semaine au FIFF de Namur. Youssef, le personnage principal, connu par les enfants du village seulement par son attribut le plus fidèle, son chien, évolue dans une ville qui lui est peu amicale.
Youssef mène une vie recluse et marginale. Son seul ami est son chien. Un soir à la plage, le chien disparaît. Pour le retrouver, Youssef doit s’embarquer dans une quête dangereuse à travers les bas-fonds de Casablanca.
Fiction, 27′, Maroc, France
2014
Premier court-métrage de fiction de Jan Sitta, « Ceux qui restent debout » a été sélectionné aussi bien dans les festivals à dominante réaliste du film court de Grenoble et du premier film d’Angers que dans l’excentrique festival rennais Court Métrange.
Un groupe de trentenaires branchés débarque dans un village. Le jeune Géronimo, un as du volant, et ses amis, les attendent de pied ferme.
Réal. : Frédéric Bayer-Azem
Fiction, 18′, 2014
France
Sélectionné dans de nombreux festivals internationaux dont celui de Sundance et plus récemment celui de Grenoble, « Où je mets ma pudeur » (2014) est le quatrième court-métrage de Sébastien Bailly.
Hafsia, étudiante en histoire de l’art, va devoir enlever son hijab pour passer un oral. Elle se rend au musée du Louvre pour observer l’œuvre qu’elle doit commenter.
Réal. : Sébastien Bailly
Fiction, 20′, France
2013
Le parcours éclectique de Jan Sitta est éclectique : un DEA de sciences politiques à Nice, une formation de comédien à Cannes, un diplôme de réalisateur à Toulouse. Il a ensuite travaillé au théâtre comme au cinéma avec des casquettes de vidéaste, d’acteur et d’assistant-réalisateur avant de se dédier totalement à son activité d’auteur-réalisateur.