Après avoir été sélectionné au Festival de Clermont-Ferrand 2020, Jusqu’à l’os fait partie des films présélectionnés aux César 2021. Le court-métrage de Sébastien Betbeder est inspiré de l’histoire vraie de Nicolas Belvalette aka Usé, musicien amiennais devenu candidat du Parti sans cible pour dénoncer la fermeture de son local.
Le Festival de Clermont-Ferrand vient de s’achever avec succès en ligne. Voici le palmarès des 3 sections compétitives. Nous publierons prochainement des papiers liés au festival.
Comment le monde peut-il être aussi dur que doux ? Dans la violence, Alexe Poukine trouve toujours la tendresse. Son film Palma, récompensé ce weekend du Prix Spécial du Jury national au festival de Clermont-Ferrand, en témoigne…
Après avoir été sélectionné au TIFF et au dernier Festival de Clermont-Ferrand, Yandere fait partie des courts-métrages présélectionnés aux César 2021. Le court-métrage de William Laboury raconte le parcours de Maïko, la petite amie holographique de Tommy qui va voir ce dernier la quitter pour une fille bien réelle.
Il y a maintenant un mois se clôturait l’édition 2020 du festival de Cannes, l’occasion idéale de découvrir David, un court métrage réalisé par l’Américain Zach Woods. Sélectionné en compétition officielle du festival et retenu aussi en compétition internationale au prochain Festival de Clermont-Ferrand, David est le tout premier court métrage réalisé par Zach Woods, connu notamment pour ses rôles dans diverses séries comiques à succès comme The Office ou encore Silicon Valley.
La 43ème édition du Festival de Clermont-Ferrand, prévue fin janvier, a dévoilé le détail de sa dernière sélection, l’internationale. 78 films composent ce programme, sur base de 6369 films inscrits. 55 pays et 15 coproductions sont représentés.
51 films sélectionnés sur 1921 films inscrits. Voici le nombre de films retenus en compétition nationale à Clermont-Ferrand cette année. Après avoir annoncé les 26 titres de sa sélection Labo il y a quelques jours, le festival qui aura lieu du 29 janvier au 6 février a publié sa liste de films dits nationaux. 9 films co-produits font partie de ce listing très resserré. Dernière sélection : l’internationale, annoncée bientôt aussi.
Le prochain Festival de Clermont-Ferrand, prévu du 29 janvier au 6 février 2021, s’intéresse cette année à une version épurée et hybride, axée principalement autour des 3 compétitions classiques (nationale, internationale, labo). Il planche actuellement sur une version physique épurée (détails sur le site internet de la manifestation) ainsi qu’un volet virtuel (accessible via un pass proposé à la vente mi-janvier). Les rétrospectives consacrées à la danse et à Taïwan sont repoussées à 2022 et 2023.
Garant d’un cinéma particulièrement acéré et décapant depuis le milieu des années 80, Olivier Smolders a toujours occupé une place de choix au sein de la rédaction de Format Court.
Oscar du meilleur film étranger en 2015 (Ida de Pawel Pawlikowski), deux nominations de suite dans la même catégorie (Cold War de Pawlikowski en 2018 et La Communion de Jan Komasa en 2019), le cinéma polonais fait de plus en plus parler de lui. Et cela concerne tout aussi bien le court-métrage.
Samedi 8 février 2020, le palmarès du 42ème Festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand a été rendu public, l’occasion de dresser un état des lieux de la production internationale. Pour cette nouvelle édition, nous avons choisi d’orienter nos regards vers la compétition Labo, censée regrouper à elle seule les œuvres les plus audacieuses et les plus étonnantes, toutes ces pépites un peu trop rebelles incapables de rentrer dans la moindre case.
Le 11 juin 1981, l’étudiant japonais Issei Sagawa assassine sa camarade néerlandaise Renée Hartevelt dans son studio au n°10 Rue Erlanger, à Paris. Victime et bourreau se connaissaient. Sagawa demande à Hartevelt de lire quelques poèmes de Johannes Robert Becher dans un dictaphone, prétextant un devoir universitaire.
Déjà montré à Rotterdam, Une chance unique a fait sa première nationale à Clermont-Ferrand. Inspiré d’une nouvelle d’Erwan Desplanques, la première fiction du cinéaste et plasticien Joël Curtz raconte la rencontre douce-amère de Lazare et de deux jeunes auto-stoppeuses.
Les secrets intérieurs du corps humain sont tabous pour nombre de civilisations. La révélation de notre horlogerie interne est trop souvent synonyme de souffrance et de mort. Le tabou, pourtant, fut enfreint. Médecins, scientifiques, artistes et curieux, pour des raisons plus ou moins sérieuses, révélèrent, siècles après siècles, ce que la morale désirait invisible.
Dans son deuxième court-métrage, Raout Pacha, qui vient de remporter le Prix Canal + et le Prix du rire « Fernand Raynaud » à Clermont-Ferrand, la comédienne de formation Aurélie Reinhorn nous invite à repenser la notion de travail aux côtés de trois personnages aussi fantasques qu’attachants, empêtrés dans des travaux d’intérêt général.
L’édition 2020 du festival international du court métrage de Clermont-Ferrand s’est achevée ce weekend. Découvrez l’ensemble du palmarès de cette 42e édition.
Premier film du réalisateur Dayan David Oualid, Dibbuk, présenté cette année à Clermont, nous plonge au cœur d’une séance d’exorcisme juif. Loin des effets de ce modèle indépassable qu’est L’Exorciste, il nous présente cette expérience avec une sobriété et une simplicité qui lui donnent la force du naturel et de l’évidence.
Actrice et réalisatrice, Bérangère McNesse est habituée des caméras depuis son enfance. Il y a une semaine, elle a remporté en Belgique le Magritte du meilleur court-métrage pour Matriochkas, un très beau film porté par le trio formé par Héloïse Volle, Victoire du Bois et Guillaume Duhesme. Film qu’elle présente en ce moment au Festival de Clermont-Ferrand, sélectionné en compétition internationale. À l’occasion de cet entretien, elle aborde la surprise de la composition, l’auto-production, les plans de carrière et la confiance des réalisateurs de courts.
Cette édition 2020 du Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand a pris, comme chaque année, sa part de risques. Entre autres films audacieux, le public clermontois a découvert le dernier-né du réalisateur britannique Robert Morgan. Tomorrow I Will Be Dirt avait, dès le départ, tout pour intriguer.
Dans son deuxième court-métrage, La Veillée, en sélection nationale à Clermont-Ferrand, Riad Bouchoucha raconte le malaise de Salim qui étouffe dans le petit appartement familial et ne trouve pas le calme et l’intimité auxquels il aspirait pour veiller le corps de sa mère.