Corpus de Marc Hericher

Corpus de Marc Hericher

Énigmatique, organique et fantastique, « Corpus » est un court-métrage d’animation de moins de 3 minutes réalisé par Marc Hericher, un ancien élève de l’École des Arts Décoratifs. En octobre dernier, le film avait remporté notre Prix Format Court au festival Court Métrange de Rennes, rejoignant ainsi nos précédents films primés en Bretagne : « A living soul » de Henry Moore Selder, « Fuga » de Juan Antonio Espigares, « Mamembre », de Christophe Feuillard, Sylvain Payen, Caroline Diot, Guillaume Griffoni, Clarisse Martin, Julien Ti-I-Taming et Quentin Cavadaski et « Danny Boy » de Marek Skrobecki.

Larp de Kordian Kądziela, Prix Format Court au festival de Brest

Larp de Kordian Kądziela, Prix Format Court au festival de Brest

Ce vendredi 13 novembre, nous avions prévu de sortir une info concernant le festival de Brest. Le soir même, avait lieu la remise des prix du festival. Pour la 4ème fois, Format Court y remettait son prix. Et puis… La terrible actualité a surgi. Choqués, indignés et tristes, nous n’avons pas alimenté le site ce weekend. Ce lundi, parce qu’il paraît qu’il faut reprendre le fil, même si ce n’est pas facile, nous reprenons à nos publications. Bon courage à tous dans cette terrible épreuve.

Île Courts, notre compte-rendu

Île Courts, notre compte-rendu

Il court, il court. Le Furet ? Non, le festival Île Courts, l’unique festival du court métrage de l’île Maurice. Du 6 au 10 octobre 2015, l’association Porteurs d’images a déplacé son jeune festival, le huitième du nom, dans différents endroits de l’île. À l’Université d’abord, mais aussi au cinéma (Le Bagatelle), sur la pelouse de Chemin Grenier, sur le bitume de Plaza et de Caudan Waterfront et sur la plage de Tamarin. Invité au festival pour animer un atelier autour de l’écriture et du journalisme, Format Court a passé quelques jours à l’île Maurice. Reportage.

Coup de pouce DCP, le 2ème lauréat

Coup de pouce DCP, le 2ème lauréat

Afin de donner plus de visibilité aux jeunes talents du court métrage francophone, le laboratoire numérique Média Solution, le partenaire de nos Prix Format Court, a lancé en mars dernier le Coup de pouce DCP. Le principe de ce concours est simple : permettre à un réalisateur ou une réalisatrice de voir son court-métrage diffusé en salle de cinéma et en festival en lui offrant le DCP de son film (encodage au format Cinéma Numérique).

Sandra Fassio : « La question de la contrainte est au cœur de mon travail, de l’écriture à la réalisation »

Sandra Fassio : « La question de la contrainte est au cœur de mon travail, de l’écriture à la réalisation »

Réalisatrice française d’origine grecque, Sandra Fassio est à l’origine de « Kanun », un polar mettant en scène Kevin Azaïs confronté à la loi du kanun, un code de l’honneur en vigueur dans la communauté albanaise. Le film a obtenu notre Prix Format Court au festival Le Court en dit long, en juin dernier à Paris. Ce jeudi soir, la réalisatrice présentera son film, au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Pour Format Court, elle revient sur ses études à l’IAD, ses débuts tardifs dans la profession, son lien au montage, son intérêt pour les non-dits et les sujets difficiles.

Annecy 2015, les films à garder en mémoire

Annecy 2015, les films à garder en mémoire

Malgré la pause et la passivité estivale, Format Court continue – à rythme réduit, certes – à vous proposer son regard critique sur le court-métrage. Si août rime avec foot et doute, si les festivals intéressants actuels et à venir n’ont pas lieu dans nos contrées (Locarno, Toronto, Venise), il ne nous est pas pour autant exclus de faire un bond en arrière, en juin par exemple, à l’occasion du dernier festival d’animation d’Annecy.

Céline Devaux : “Si tu veux toucher l’autre, il faut revenir à la vie, transmettre la réalité »

Céline Devaux : “Si tu veux toucher l’autre, il faut revenir à la vie, transmettre la réalité »

Place aux filles. Après Chloé Mazlo et avant Sarah Van Den Boom et Rosana Urbes, Format Court s’intéresse aux nanas de l’animation. Chapitre 2 : Céline Devaux. Repérée avec son film de fin d’études à l’ENSAD, « Vie et mort de l’illustre Grigori Efimovitch Raspoutine », la jeune réalisatrice a terminé cette année « Le Repas dominical », son premier projet professionnel. Entre dérision, amour et mélancolie, cette chronique portant sur les réunions familiales a fait partie des 9 courts retenus en compétition à Cannes cette année.

Guido Hendrikx : « Pour faire des films intéressants, il faut apprendre à se limiter »

Guido Hendrikx : « Pour faire des films intéressants, il faut apprendre à se limiter »

Primé par notre site au festival Go Short (Pays-Bas), Guido Hendrikx avait fait le déplacement à Paris courant avril pour présenter pour son film « Onder ons » aux Ursulines. Sujets tabous, traitement médiatique, intérêt pour le documentaire et la fiction, manipulation, instincts individuels, nuance,… : le jeune réalisateur est revenu sur les différents thèmes qui ont influencé son travail et son parcours. Rencontre.

Leonardo Brzezicki : « Quel est l’intérêt de faire un film si on n’essaie pas d’offrir de nouvelles perspectives par rapport à ce qui a déjà été fait ? »

Leonardo Brzezicki : « Quel est l’intérêt de faire un film si on n’essaie pas d’offrir de nouvelles perspectives par rapport à ce qui a déjà été fait ? »

Lauréat du premier Prix Format Court à IndieLisboa et sélectionné au préalable à la dernière Berlinale, « The Mad Half Hour » est un court-métrage, noir, drôle, argentin, blanc, mélancolique et danois, réalisé par un ancien comédien, Leonardo Brzezicki, déjà auteur d’un long-métrage, « Noche », bien repéré sur la scène festivalière. En amont de la projection de son film que nous avons organisée en mai à Paris, nous avons rencontré Leonardo Brzezicki à Lisbonne pour un entretien autour du court, des non professionnels, du cinéma français et des difficultés à se forger une filmographie en Argentine.

Joanna Lorho : Contraintes & doutes, animation & maturation

Joanna Lorho : Contraintes & doutes, animation & maturation

Il s’agit d’un premier film très maîtrisé, tout en noir et gris, au trait épuré, porté par une musique magnifique. Son nom ? « Kijé », un curieux titre qui a révélé un nouveau talent au dernier Festival d’Angers, Joanna Lorho, lauréate de notre Prix Format Court. Dans le cadre du focus qui lui est consacré, la jeune réalisatrice est revenue sur son parcours, son univers, ses doutes, ses difficultés et son lien à l’illustration et à l’animation. Jeudi passé, nous avons diffusé son film au Studio des Ursulines (Paris, 5è) et organisé une exposition autour de son travail. Aujourd’hui, nous vous proposons de faire la connaissance de son auteure.