Le film arrive par hasard par le biais d’une actu paillette, celle des 12 courts métrages pré-sélectionnés aux César. Certains noms sont parlants, d’autres pas du tout. Celui de Hugo Chesnard appartient à la deuxième catégorie. Quelques instants plus tard, Arte, joue son jeu +7 : « La France qui se lève tôt » est visible en ligne une semaine après sa diffusion sur la chaîne franco-allemande. Forcément, la curiosité s’étire, le partage de l’info est immédiat, et le choc, lui, est salutaire. Le film réapparaît quelques jours plus tard, au détour d’une séance musicale, à Paris Courts Devant. Renouvellement de l’attention.