Du 6 au 11 octobre 2009, la neuvième édition du Festival du court métrage de Lille s’affichait, toutes dents à l’air, dans la ville du Nord. Le Palais (des Beaux-Arts), le Théâtre (Sébastopol) et des canapés de récup’ (L’hybride) servaient de cadres à la compétition internationale (80 films), aux Très Courts (moins de 4 minutes), aux programmes sur le thème de l’humour, aux voyages transdisciplinaires aux frontières du cinéma, à la Nuit de l’animation, et à des vidéos bonbons. Suivez les trois points pour en savoir plus…
Retrouvez nos sujets liés à ce Focus :
- Le Palmarès de cette édition
- La critique de Danse Macabre (Pedro Pires, Canada)
- La critique de Between (Tim Bollinger, Allemagne)
- La critique de Passages de Marie-José Saint-Pierre (Canada)
- La critique de « Echo » de Magnus Von Horn (Pologne)
- La critique de Keith Reynolds Can’t Make it Tonight (Felix Massie, Royaume-Uni)
- L’interview de Felix Massie, réalisateur de Keith Reynolds Can’t Make it Tonight (Royaume-Uni)
Et nos anciens sujets liés au Festival :
- La critique de The Ground beneath (Le Sol sous nos pas) (René Hernandez, Australie)
- La critique de Je criais contre la vie. Ou pour elle (Vergine Keaton, France)
- La critique de Codswallop (Myles et Greg Mc Leod, Royaume-Uni)
- La critique de The Heart of Amos Klein (Le Cœur d’Amos Klein) (Michal Pfeffer-Kranot et Uri Kranot, Israël, France, Pays-Bas)