Ça y est ! Cannes, c’est terminé. Du côté des courts, deux films ont été distingués lors de la cérémonie de clôture de la 77ème édition du festival par le Jury récompensant à la fois les films de l’officielle et ceux de la Cinef.
Palme d’or du court-métrage au mois de mai, le film 27 vient de remporter ce weekend le Cristal du court-métrage et le prix de la meilleure musique originale à Annecy. Ce premier film professionnel s’intéresse à la sexualité, aux couleurs, aux incertitudes liées au passage à l’âge adulte. Sa jeune réalisatrice d’origine hongroise, Flóra Anna Buda, s’est installée à Paris. Elle travaille déjà sur son prochain projet en noir et blanc et commence à réfléchir à son premier long-métrage.
Palme d’or 2023 du court-métrage à Cannes, 27 de la réalisatrice hongroise Flóra Anna Buda nous donne à voir la solitude et l’égarement d’une jeune femme à notre époque. En passant par des gestes doux et fluides et des transformations psychédéliques, ce court-métrage d’animation, Cristal du court-métrage et prix de la meilleure musique originale à Annecy, nous fait voyager dans un quotidien mélancolique où rêves et réalité s’entrechoquent.
Ça y est ! Cannes, c’est terminé. Du côté des courts, deux films ont été distingués lors de la cérémonie de clôture de la 76ème édition du festival par le Jury récompensant à la fois les films de l’officielle et ceux de la Cinef.
À Cannes, nous avons interrogé la lauréate de la Palme d’or du court-métrage, Story Chen, au sujet de son film The Water Murmurs. La jeune réalisatrice chinoise aborde son parcours, sa passion pour l’élément de l’eau, fil conducteur de son film, ainsi que son intérêt pour la question de la mémoire et des souvenirs.
Ça y est ! Cannes se termine. Du côté des courts, deux films ont été distingués lors de la cérémonie de clôture de la 75ème édition du festival par le Jury récompensant à la fois les films de l’officielle et les films de la Cinef.
Ils seront 5 à attribuer non seulement la Palme d’or du court parmi les 9 films sélectionnés, mais aussi les 3 prix de la Cinef aux meilleurs courts représentés parmi les 16 sélectionnés. Les membres du Jury des courts de Cannes sont connus.
Sur 3507 films issus de plus de 140 pays, 9 courts-métrages ont été retenus par le comité de sélection de Cannes et seront présentés cette année en compétition. Ils proviennent des 11 pays suivants : Chine, Corée du Sud, Costa Rica, États-Unis, France, Ghana, Hong Kong, Italie, Lituanie, Mexique et Népal. La Palme d’or du court métrage sera attribuée le samedi 28 mai lors de la cérémonie de clôture du 75e Festival de Cannes.
Jeune chinoise vivant à New York, la réalisatrice Tang Yi a réalisé le film All the Crows in the World. Celui-ci a comme particularité d’avoir remporté la Palme d’or du court cette année à Cannes. Cet été, nous l’avons longuement interrogée via Zoom sur son parcours, son travail d’écriture, ses défis et ses doutes. Encore étudiante à la NYU Tisch School de New York, elle évoque aussi le low-budget, la comédie sombre, les erreurs à commettre, les revendications qui l’anime et l’influence du réel sur ses films.
Dans All crows in the world, film de quatorze minutes qui a reçu cette année la Palme d’Or du court-métrage en sélection officielle à Cannes, la réalisatrice Yi Tang dépeint une jeunesse chinoise à la fois audacieuse et réservée qui questionne certaines pratiques sociales qui semblent redondantes et dépassées. C’est d’ailleurs de son histoire personnelle que la réalisatrice a puisé l’inspiration pour ce film, qui sous des allures de comédie laisse apparaître une évaluation plus acerbe du rapport aux relations et à la sexualité en Chine.
Sameh Alaa est un jeune cinéaste égyptien. À Bruxelles, il vit, écrit et imagine des films, courts comme longs. Il a réalisé un film sur l’absence et le courage qui nous a tapé dans l’oeil, à la rédaction : I am afraid to forget your face. Celui-ci faisait partie de la compétition officielle de Cannes 2020 où il a remporté la Palme d’or du court-métrage lors de la dernière édition du festival.
Format Court a le plaisir de vous inviter à son nouveau rendez-vous digital : « Dialogues ». Pour inaugurer ce cycle, nous avons le plaisir d’organiser une rencontre sur Beem, une nouvelle plateforme digitale alliant projections et échanges, autour des deux derniers lauréats de la Palme d’or du court-métrage : Sameh Alaa, primé à Cannes en 2020, et Vasilis Kekatos, gagnant en 2019.
En cette année particulière, Cannes a décidé de maintenir 2 prix importants pour le court, celui de la Cinéfondation et la Palme d’or. Après vous avoir proposé le palmarès lié aux films d’écoles il y a quelques jours, voici celui relatif à la compétition officielle du Festival.
« Je crains d’oublier ton visage » : c’est autour de cette peur que ce court-métrage de Sameh Alaa, Palme d’or à Cannes 2020, est construit. Son précédent film Fifteen (2017) avait été sélectionné en Première Mondiale au Festival de Toronto 2017 (section Shorts Cuts). Le réalisateur égyptien nous livre à nouveau un film sobre, qui nous fait suivre le parcours d’Adam, bien décidé à rendre un dernier hommage à la femme qu’il aime.
Vasilis Kekatos a brillé à Cannes avec son court-métrage La distance entre le ciel et nous qui remporte aussi bien la Palme d’Or du meilleur court-métrage que la Queer Palm. Vasilis Kekatos devient le premier réalisateur grec à remporter une Palme d’Or pour un court métrage.
Le réalisateur grec Vasilis Kekatos a remporté la Palme d’Or du court-métrage au 72e Festival de Cannes avec son film La distance entre le ciel et nous. Il est le tout premier réalisateur grec à remporter une Palme d’Or dans cette catégorie. Il
Le jury court-métrage du Festival de Cannes, présidé par Abbas Kiarostami, a remis il y a quelques jours la Palme d’or du court-métrage 2014 à « Leidi », film d’école de Simón Mesa Soto, jeune réalisateur colombien faisant ses études à la London Film School. Initalement sélectionné à la Cinéfondation, programme cannois consacré aux films d’écoles, « Leidi » s’est finalement retrouvé dans la tant convoitée sélection officielle.