Les amoureux qui passent, le soleil amer, la nuit verte, des arbres tordus, la barque de Charon, une fête surréaliste, deux adolescents accroupis qui disparaissent dans la nuit… Il s’agit juste d’une partie des éléments qui confluent dans « Les Fleuves m’ont laissée descendre où je voulais », premier film de Laurie Lassalle, en compétition cette année à la 12ème édition des Rencontres Européennes du Moyen Métrage de Brive.
Le jury Format Court de la douzième édition des Rencontres du moyenmétrage de Brive, composé de Georges Coste, Nadia Le Bihen, Aziza Kaddour et Marc-Antoine Vaugeois, a choisi de récompenser « Comme une grande », film de fin d’études de l’ancienne élève de la Fémis Héloïse Pelloquet.
Jean-Sébastien Chauvin est critique de cinéma (Cahiers du Cinéma, Chronic’Art, Vogue) et enseignant à l’ESEC (École Supérieures des Études Cinématographiques). Depuis 2008, il a réalisé cinq courts-métrages qui tracent une voie singulière au sein de la production française de par leur inspiration fantastique et leur propension à ouvrir leurs cadres sur des territoires peu explorés.
Potemkine, boutique de DVD située dans le 10ème arrondissement de Paris, est née en 2006, avec la volonté d’offrir aux spectateurs un accès à un cinéma éveillé et éclectique. Elle leur propose aussi bien des grands films de l’Histoire du cinéma que des films plus intimistes et méconnus, tout aussi grands par leur qualité. Afin de mener à bien cette mission de découverte et d’accès au cinéma, Potemkine a agrandi son secteur d’activité l’année d’après en se lançant dans l’édition DVD, puis, dans la distribution en salle en 2012. Co-édités avec Agnes b. Production depuis 2008, les films sortis en DVD reflètent autant de coups de cœur, d’exigence et d’originalité.
Le mois prochain, Format Court attribuera pour la 2ème année consécutive un prix à l’un des 22 films sélectionnés aux Rencontres européennes du moyen-métrage de Brive (14-19 avril). Le Jury Format Court (composé de Georges Coste, Aziza Kaddour, Nadia Le bihen-Demmou, Marc-Antoine Vaugeois) élira le meilleur film de la compétition (films de fictions, expérimentaux et documentaires). Le moyen-métrage primé bénéficiera d’un focus spécial en ligne, sera programmé lors d’une séance Format Court organisée au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) et bénéficiera d’un DCP doté par le laboratoire numérique Média Solution.
Nous vous l’annoncions il y a quelques jours : « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui, Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) 2013 sort en salles ce mercredi 4 février, en France. À l’occasion de cette sortie (dont Format Court est partenaire), nous avons 10 invitations (valables pour 2 personnes) à vous offrir, grâce au distributeur Damned Films.
En octobre 2013, Format Court avait repéré et primé l’un des plus beaux courts vus dans sa petite histoire (6 ans), « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui. Au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF), notre jury (Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) avait attribué le Prix Format Court du Meilleur Court Métrage international à ce très beau film franco-algérien pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.
La 12ème édition du Festival de Brive, consacré au moyen métrage, aura lieu du mardi 14 au dimanche 19 avril 2015. Pour sa compétition européenne, le festival est à la recherche de films (durée : 30-60 minutes, tous genres : fiction, documentaire, animation, expérimental). Vous pouvez y envoyer vos films jusqu’au 8 février 2015.
Manol, grand-père à la retraite, est un patriarche qui a toujours su imposer fermement ses valeurs au sein de sa famille. Mais aujourd’hui, il apprend que le garçon qu’il a élevé est homosexuel. Voilà ses certitudes ébranlées par les choix de vie de ses proches, dans une bataille perdue d’avance.
Réal . : Pavel G. Vesnakov
Fiction, 30′, 2013
Bulgarie
La filmographie de Sébastien Betbeder voit alterner des formes courtes et longues. D’un côté, il y a des films comme « La Vie lointaine » et « Sarah Adams », de l’autre, il y a « Les Nuits avec Théodore » et « 2 Automnes 3 hivers ». Au Festival de Vendôme 2014, le réalisateur présentait son dernier film sélectionné en compétition nationale, « Inupiluk », une comédie orchestrant la rencontre entre quatre garçons très différents, Thomas et Thomas, deux Français, et Adam et Ole, deux Groenlandais
Lila Pinell et Chloé Mahieu sont deux jeunes documentaristes qui travaillent en binôme depuis 5 ans. A l’occasion du dernier festival de Vendôme, elles sont revenues sur leur projet « Boucle Piqué ».
Pour la quatrième année consécutive, Format Court vient d’attribuer un prix au Festival de Vendôme. Le jury, composé de Lola L’Hermite, Carine Lebrun, Mathieu Lericq, Zoé Libault et Marc-Antoine Vaugeois, a choisi de récompenser « Tourisme International », un moyen-métrage documentaire réalisé par Marie Voignier, parmi les 23 films retenus en compétition nationale.
Intimité et spectacle, mélancolie et rage, pudeur et pulsion, naissance et disparition. Quatre filles, quatre garçons. Huit solitudes se racontent avec lyrisme et passion, entre Terre et Cosmos, en chemin vers leurs « Métamorphoses. »
Fanny et Simon, deux jeunes gens d’à peine vingt ans fuient une zone industrielle et s’enfonce dans la campagne. La découverte, en pleine nature, d’un téléphone portable qui semble les appeler va les entraîner dans une étrange aventure…
Lors de la dernière édition du festival de Vendôme, Format Court avait décerné son prix annuel à « Pour la France » de Shanti Masud. Son dernier opus « Métamorphoses » nous a également tapé dans l’œil lorsque nous l’avons découvert aux Rencontres du moyen-métrage de Brive cette année. Voici notre entretien avec Shanti Masud, jeune réalisatrice ultra-prolifique qui revient pour nous sur son parcours, sur sa cinéphilie transversale et sur ses méthodes de travail.
Dans sa forme comme dans son fond, « Peine Perdue » ressemble à un documentaire sur l’éducation amoureuse. C’est avec simplicité et fluidité que le réalisateur Arthur Harari filme cette danse des corps en attraction, laissant les comédiens et le décor raconter ce qui ne peut se dire dans les dialogues. Une réalisation très aboutie, presque irréelle, récompensée cette année par le Prix Format Court au Festival de Brive.
Sans concession, le deuxième film d’Arthur Harari tente de décrire en près d’une heure les âpres retrouvailles entre un père et son fils sous le regard de la petite amie de ce dernier.
En avril dernier, Format Court a décerné un prix lors de la onzième édition des Rencontres du moyen-métrage de Brive au film « Peine perdue » de Arthur Harari. Ce conte d’été moite et solaire avait convaincu notre jury par l’intelligence de sa mise en scène, l’élégance de son écriture et la justesse de ses interprètes. Dans le cadre de ce prix, le film fut projeté en présence de l’équipe (le réalisateur, les comédiens (Lucas Harari, Emilie Brisavoine) et le producteur (Nicolas Anthomé/Bathysphère Productions), le jeudi 10 mai dernier.
En avril dernier, Format Court décernait un prix au film « Peine perdue » d’Arthur Harari lors de la onzième édition du Festival de Brive. Ce conte d’été moite et solaire avait convaincu notre jury par son sens de la dramaturgie, son élégance d’écriture et pour l’intelligence de sa mise en scène. Nous sommes allés à la rencontre de ce jeune réalisateur talentueux qui a accepté de revenir pour nous sur la genèse de son film, sur ses méthodes de travail et sur ses futurs projets.
En avril dernier, Format Court a décerné un prix lors de la onzième édition des Rencontres du moyen-métrage de Brive au film « Peine perdue » de Arthur Harari. Ce conte d’été moite et solaire avait convaincu notre jury par l’intelligence de sa mise en scène, l’élégance de son écriture et la justesse de ses interprètes. Dans le cadre de ce prix, le film fut projeté en présence de l’équipe (le réalisateur, les comédiens (Lucas Harari, Emilie Brisavoine) et le producteur (Nicolas Anthomé/Bathysphère Productions), le jeudi 10 mai dernier.