Dans une ville où tout est construit autour de la lettre R et où l’on parle et ne pense qu’en « R ». La nuit, lorsque tout le monde dort d’un « R »onflement profond, des signes étranges naissent sur les murs.
À quelques kilomètres d’Ajaccio la terre brûlée cède sous le poids de la couleur. Le sol se fend et libère des énergies picturales qui s’emparent du ciel. Je vois l’horizon disparaître mais je le fixe. Le train continue sa route.
La nuit; peut-être après avoir rêvé d’un homme qui s’introduit à son domicile en cassant une fenêtre, une jeune femme sensible à la lumière a une conversation avec un ami, à propos d’un voyage.
Dans les années trente, à la période de Noël, un projet immobilier est proposé avec succès au maire d’une grande ville. Dans les rues, une femme, la main tendue, cherche à subvenir aux besoins de son fils.
Un loup, un mouton et un chou doivent traverser une rivière. Comment peut-on les faire traverser, chacun à son tour, sans que le mouton puisse manger le chou et sans que le loup puisse manger le mouton ?
Voyageant 400 km au-dessus du cercle polaire au village Karigasniemi à Utsjoki en Finlande, la cinéaste Eva Weber montre l’élevage de rennes qui a été le gagne-pain des autochtones Samí de l’Arctique durant d’innombrables générations.
Intimité et spectacle, mélancolie et rage, pudeur et pulsion, naissance et disparition. Quatre filles, quatre garçons. Huit solitudes se racontent avec lyrisme et passion, entre Terre et Cosmos, en chemin vers leurs « Métamorphoses. »
L’histoire du joueur de flûte de Hamelin, 24 enfants en poussettes, une théorie sur les montagnes russes, un concentré de sentiments personnels, quelques revendications syndicales de Dingo.