Au sein d’un Centre Wallonie-Bruxelles métamorphosé après plus d’un an de travaux de rénovations, se tenait du 24 au 28 octobre dernier la 31ème édition du plus belge des festivals français, Le Court en dit long, sous la direction de son fidèle programmateur Louis Héliot. Habituellement au mois de juin, le festival devrait retrouver ses dates originelles dès 2024 pour sa 32e édition. Mais avant de nous plonger dans l’année à venir, regardons un peu en arrière…
Ayant fait ses débuts au cinéma en tant que comédienne, Flonja Kodheli réalise son premier court-métrage avec Ka Me Kalu, où elle met en scène un rapport mère-fille en proie aux stigmates de la dictature albanaise. Elle vient d’obtenir le Grand Prix ex-aequo et le Prix du Public au festival Le Court en dit long. Dans un entretien réalisé juste avant la remise des prix, elle revient avec nous sur son parcours et les thématiques qui lui sont chères.
Le 30ème festival Le Court en dit long dédié aux courts-métrages belges francophones s’est déroulé au début du mois. Format Court vous propose d’en savoir plus sur deux courts primés : Balaclava de Youri Orekhoff (Grand Prix ex-aequo) et En fin de conte réalisé par Zoé Arène (prix du scénario).
Youri Orekhoff a réalisé Balaclava. Avec ce film disponible sur Court-Circuit, il a remporté ex-aequo (avec Ka Me Kalu de Flonja Kodheli) le Grand Prix au festival Le Court en dit long en juin 2022, au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris. Encore étudiant à La Cambre, une école d’animation à Bruxelles, il revient sur son parcours et son goût pour les univers stylés, faits de faux ongles, de kitsch, d’improvisation et de croquis.
Elle a débuté dans L’Enfant des Dardenne. Premier rôle, premier Cannes. Déborah François, jurée au festival Le Court en dit long à Paris, raconte son apprentissage sur le plateau des frères, ce qui l’intéresse chez les acteurs. Comédienne, elle vient de passer à la réalisation avec son premier court, Mouton noir, conçu dans le cadre des Talents Adami (cherchant à valoriser des jeunes comédiens entre 18 et 30 ans). Son film a été diffusé à Cannes avec ceux d’autres comédiens passés à la réalisation spécialement pour ce projet : Aïssa Maïga, Pascale Arbillot et Raphaël Personnaz. Rencontre au café du coin, en mode pluvieux, avant la remise des prix du Court en dit long.
Au cours de ce marathon des festivals, glissé entre Cannes et Coté Court, le Centre Wallonie- Bruxelles organisait, pour sa 30ème édition, le festival du Court en dit Long. Du 31 mai au 4 juin 2022, ce festival dédié aux courts-métrages belges francophones mettait en valeur cette année 36 films répartis sur sept programmes thématiques : films d’écoles, version originale, LGBTQ+, des réalisatrices, de l’étrange et des premiers films.
Ce samedi 6 juin 2020 se clôturait la 28ème édition du festival franco-belge Le Court en dit long. Une édition un peu spéciale, compte tenu de la situation internationale, qui s’est déroulée entièrement en ligne. C’est ainsi que 34 courts métrages, répartis en 6 programmes à thème, ont été diffusés gratuitement en ligne du 1er juin au 6 juin. Une large sélection dans laquelle Format Court a le plaisir de vous partager ses coups de cœur.
Alors que les manifestations culturelles s’adaptent aujourd’hui en raison de la crise sanitaire du Covid-19, le Festival belge Le Court en dit Long, spécialisé dans le court belge francophone, accueillera très prochainement sur la toile sa 28ème édition.
Le 26ème festival Le Court en dit long, festival compétitif de courts métrages produits ou coproduits en Belgique francophone, se déroule actuellement au Centre Wallonie-Bruxelles (46, Rue Quincampoix, 75004 Paris). 32 films en compétition, répartis en six programmes thématiques, y sont projetés jusqu’à samedi soir. Corps, films d’écoles et d’ateliers, adolescents, questions de société, de l’amour, questions de genres : allez-y.
Repéré et apprécié par l’équipe de Format Court depuis que son court « Un monde meilleur » était sélectionné à Brest en 2013, le réalisateur belge Sacha Feiner a convaincu notre jury au festival Le Court en dit long avec son nouveau film « Dernière porte au sud ». Passant aisément de la science-fiction futuriste en live-action au fantastique […]
En juin dernier, le Jury Format Court a décerné son deuxième prix au festival Le Court en dit long 2016 à « Dernière porte au sud » de Sacha Feiner. Ce film d’animation fantastique est une adaptation de la bande-dessinée du même nom de l’artiste belge Philippe Foerster et dresse le portrait sinistre d’un petit garçon qui vit à l’écart du monde extérieur avec sa mère veuve
Sacha Feiner, le réalisateur belge récompensé au festival Le Court en dit long du Prix Format Court pour son dernier court-métrage d’animation « Dernière porte au sud », plonge dans son film le spectateur dans un univers fantastique d’après le point de vue d’un enfant et de sa tête siamoise. La précision des détails, du décor, la volonté de retranscrire et d’adapter la bande dessinée de Philippe Foerster, met en avant la sensibilité du réalisateur pour ses personnages, une sensibilité que l’on retrouve dans ses deux précédents films : « Gremlins fan film », et « Un monde meilleur ».
Récompensé du Prix Format Court au 24ème festival Le Court en dit long, « Dernière porte au sud » est un film d’animation de Sacha Feiner, adapté de la bande dessinée éponyme de Philippe Foerster.
Prix du meilleur court métrage au FIFF (Namur) en 2015 et présenté cette année au Court en dit long à Paris, « The Hidden Part » de Monique Marnette et Caroline d’Hondt est en quelque sorte un road movie détourné, un portrait subtil et réflexif de l’exil et de la solitude.
Pour la deuxième année consécutive, Format Court est partenaire du festival Le Court en dit long dont la 24ème édition s’est terminée hier soir au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris.
Le 24ème festival Le Court en dit long, dont Format Court est partenaire à nouveau cette année, aura lieu du 30 mai au 4 juin prochain. Ce festival compétitif de courts métrages produits ou coproduits en Belgique francophone diffuse pendant plusieurs jours, au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, 40 courts métrages belges francophones ou franco-belges en compétition, répartis en huit programmes thématiques.
La 24ème édition du festival de courts métrages belges Le Court en dit long se tiendra prochainement, du 30 mai au 4 juin prochain au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris. Pour la deuxième année consécutive, après avoir primé « Kanun » de Sandra Fassio l’an passé, Format Court y attribuera un prix au sein de la compétition. Le Jury Format Court (composé de Adi Chesson, Karine Demmou, Gaël Hassani, Aziza Kaddour) élira le meilleur court en compétition parmi les 44 films sélectionnés, à l’issue du festival.
Le tout premier prix Format Court remis lors du festival Le Court en dit long cette année au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris a été attribué à Sandra Fassio pour Kanun, un drame psychologique fin en forme de film noir.
Un premier film où l’on parle grec (« I Rafi, la couture », 2012), un deuxième qui se déroule en Albanie (« Kanun », 2015). Sandra Fassio est une réalisatrice belge mais son cinéma est déjà cosmopolite, en tout cas européen.
Les histoires de jeunesse, d’enfance ou d’adolescence difficile, étaient très présentes dans la sélection du 23e festival Le Court en dit long, en juin 2015. « Sœur Oyo » se détachait du reste de la production belge sur ce thème en raison de son contexte singulier (le Congo, au début des années 1950), mais aussi de ses qualités d’écriture et de mise en scène. Le film, première fiction de Monique Mbeka Phoba après plus de vingt ans de documentaires, a d’ailleurs reçu la Mention du Jury Format Court.