Archives par mot-clé : Film d’école

Dans le cochon tout est bon de Iris Alexandre

Dans le cochon tout est bon de Iris Alexandre

Au Fidec cette année, se trouvait une pléthore d’animations en compétition nationale et internationale, montrant que le genre animé occupe une place importante dans l’enseignement cinématographique. Parmi les films présentés, le jury de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décerné son prix à « Dans le Cochon tout est bon » d’Iris Alexandre.

FIDEC 2011

FIDEC 2011

Le FIDEC (Festival International des écoles de cinéma) qui s’est tenu au Centre culturel de Huy du 19 au 23 octobre proposait une fois de plus une sélection reflétant la diversité et la richesse de la création cinématographique actuelle, réalisée dans un cadre académique.

Jan Czarlewski. Comment j’ai provoqué mon père

Jan Czarlewski. Comment j’ai provoqué mon père

Jan Czarlewski est le grand vainqueur des Léopards de demain : il a reçu le Pardino d’or pour son court documentaire « L’Ambassadeur & moi ». Filmant son père, ambassadeur de Pologne, durant plusieurs jours dans les hauts lieux de la diplomatie, il revient sur les rapports houleux qu’il a entretenus avec lui et le besoin qu’il a éprouvé de se rapprocher de l’homme intime à travers le prisme du cinéma. Rencontre.

A comme L’Ambassadeur & moi

A comme L’Ambassadeur & moi

Son excellence, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Pologne auprès du Royaume de Belgique a consacré toute sa vie à son pays. En contrepartie, il n’a jamais vraiment eu de temps pour moi, son fils. A Bruxelles, je viens passer quelques jours avec lui afin d’essayer de rattraper le temps perdu.
Réal. : Jan Czarlewski
Documentaire, 15′, 2011
Suisse

L’Etrange Billet N°4

L’Etrange Billet N°4

Aujourd’hui, exercice de style pour Joe Tunmer et la BBC, avec un “Lip Dub domestique” sur un standard de jazz, Conversation Piece de Rex Stewart. Pendant ce temps, une jeune équipe d’animateurs français crée l’entreprise Telegraphics qui, à force d’expérimentations sur la matière, se trouve capable de reproduire l’ensemble des éléments qui constituent la réalité…

Tae-gyum Son : « Si mon film n’avait pas été invité au festival de Cannes, ça aurait été le dernier »

Tae-gyum Son : « Si mon film n’avait pas été invité au festival de Cannes, ça aurait été le dernier »

Sorti de la Chung-Ang University de Séoul, Tae-gyum Son a remporté il y a peu le troisième prix de la Cinéfondation avec son film « Ya-Gan-Bi-Hang » (Fly by Night). Accompagné de sa distributrice et traductrice Jihye Park, il livre son point de vue en V.O. sur l’adolescence au cinéma, ses grands maîtres à penser, ses difficultés à s’insérer dans l’industrie coréenne et l’influence de Cannes sur la poursuite de sa carrière.

Y comme Ya-Gan-Bi-Hang

Y comme Ya-Gan-Bi-Hang

Un garçon qui n’a d’autre famille que son frère aîné couche avec un homme pour de l’argent. À court d’espèces, l’homme suggère une nouvelle rencontre pour le lendemain et lui demande son numéro de téléphone. Mais le portable du garçon est confisqué par son frère qui refuse de le rendre.
Réal. : Tae-gyum Son
Fiction, 21′, 2010
Corée du Sud

Jessi de Mariejosephin Schneider

Jessi de Mariejosephin Schneider

« Jessi » de l’Allemande Mariejosephin Schneider suit la fugue et les yeux de chat d’une môme de 11 ans, dont la mère purge une peine de prison et dont la sœur a quitté l’ancienne demeure familiale. Lauréat du Grand Prix du Jury dans la catégorie films d’écoles européens à Angers, et projeté également aux Rencontres Henri Langlois, le film figure parmi les 21 titres de la compétition européenne du festival de Brive.

J comme Jessi

J comme Jessi

Pendant que sa mère purge sa peine en prison, la petite Jessi, 11 ans, vit dans une famille d’accueil. Sa quête d’identité la mène jusqu’au village où elle a grandi. Là, elle découvre que sa recherche doit aller bien au-delà des limites de son ancienne vie.
Réal. : Mariejosephin Schneider
Fiction, 33′, 2010
Allemagne