Semaine de la Critique 2018. Les courts sélectionnés
Cannes, la suite. 10 courts métrages en compétition ont été retenus cette année par le comité de sélection de la Semaine de la Critique, sur base de 1 500 films soumis. Voici lesquels.
Cannes, la suite. 10 courts métrages en compétition ont été retenus cette année par le comité de sélection de la Semaine de la Critique, sur base de 1 500 films soumis. Voici lesquels.
Alors que la sélection de la Compétition Officielle des court-métrages cannois et de la Cinéfondation 2018 ont été dévoilées ce mercredi, et en attendant que Bertrand Bonello préside ces deux sélections du 8 au 19 mai prochain, Format Court vous propose de revenir sur un court-métrage remarqué quelques années plus tôt.
En parallèle à l’annonce des courts-métrages en compétition à Cannes 2018, voici celle de la Cinéfondation, la section réservée aux films d’écoles.
Le 71e Festival de Cannes a annoncé ce mercredi la liste des courts métrages en compétition et la sélection de la Cinéfondation 2018. Le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages, présidé par Bertrand Bonello que nous avions interviewé en 2013, récompensera à la fois les meilleurs films de la Compétition des courts métrages et ceux de la Sélection Cinéfondation à l’issue de ses délibérations.
Depuis un mois, Waves’98 du réalisateur libanais Ely Dagher est visible en ligne. Ce court-métrage d’animation s’est vu décerner la Palme d’or en 2015 à Cannes, en France et le Bayard d’or du Meilleur Court métrage au Festival de Namur la même année.
Un petit garçon achète des légumes pour sa famille dans un marché de rue, mais tout d’un coup quelque chose change en chemin.
Premier réalisateur chinois à avoir obtenu une Palme d’or à Cannes avec son court-métrage A Gentle Night, le jeune Qiu Yang prépare son premier long-métrage entre Paris et Changzhou, sa ville natale, entre deux festivals (Toronto actuellement).
Davy Chou présentait il y a un an son premier long-métrage, Diamond Island, lauréat du Prix SACD à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2016. Très justement encensé par la presse, son film n’est pas passé inaperçu dans le milieu et est sorti récemment en DVD chez Doriane Films.
Une semaine après notre dernière projection Format Court le jeudi 8/6 au Studio des Ursulines, nous organisons une nouvelle soirée en partenariat avec House on Fire et Cinématographic Lightbox autour du réalisateur chinois, Qiu Yang, récompensé cette année à Cannes de la Palme d’or du court-métrage pour son film A Gentle night.
Benoît retrouve sa grand-mère et son frère Tonton Thomas pour qu’ils lui racontent la série phare qu’elle suit depuis 1989, date de sa sortie officielle en France. Celle-ci – la plus ancienne encore en activité du monde télévisuel (sa première diffusion a eu lieu en 1973 aux États-Unis) – est Les Feux de l’amour.
Après plus de 5 ans de programmation, nos séances Format Court organisées tous les mois au Studio des Ursulines (Paris, 5ème) font une pause méritée pour nous permettre de nous lancer dans un tout nouveau projet (surprise !).
Après The world et Under the sun, le réalisateur chinois Qui Yang réalise avec A Gentle night son troisième court-métrage, mais aussi un clip avec l’artiste Wet et des photographies visibles sur son site internet (http://www.whosqiuyang.com/). A Gentle night, son dernier film, qui vient de remporter la Palme d’or au festival de Cannes, approfondit les visions et les émotions troublantes de ses précédentes réalisations, en radicalisant encore d’un pas ses processus narratifs.
Plus de mystère. La Palme d’or des courts métrages du 70ème Festival de Cannes a été attribuée ce soir à Xiao cheng er que (Une nuit douce) du réalisateur chinois Qiu Yang. Le film a été distingué par Cristian Mungiu et son Jury parmi les 9 films en compétition.
Pour mémo : la Quinzaine des Réalisateurs est une section non compétitive, mais certains de ses partenaires attribuent des prix lors de la cérémonie de clôture, qui a eu lieu hier soir. Sur les différents prix remis, l’un est consacré au court métrage via la marque de café Illy.
Et hop ! Premier palmarès à être rendu à Cannes, celui de la 56ème Semaine de la Critique, décerné hier soir. Du côté des courts, deux films ont été primés par le Jury et les partenaires.
À qui seront remis les prix de la Queer Palm cette année ? Verdict prévu ce samedi. En attendant, faisons état des réalités homo-lesbo-bisexo-transexuelles++ au 70e Festival de Cannes. L’enjeu est de taille, malgré la discrétion des images — et des plumes — qui se risquent à en témoigner.
Jean-Marc E. Roy et Philippe David Gagné, cinéastes québécois, reviennent à la Quinzaine des Réalisateurs avec leur dernière production, Crème de menthe, deux ans après la sélection de leur court métrage Bleu Tonnerre.
De nombreux courts métrage sélectionnés à Cannes cette année racontent un départ ou une fuite, une trajectoire nécessaire vers l’étranger, une transition horizontale vers un ailleurs indéfini.
Si la jeune cinéaste polonaise Aleksandra Terpińska ne mâche pas ses mots, il semblerait qu’elle croque la réalité à pleines dents. À la manière de ses personnages qui, dans une métropole en guerre, se demandent comment vivre. Ou mourir.
Avec son court métrage Nada, le brésilien Gabriel Martins nous offre une sorte de teen movie post-moderne où l’adolescence n’est plus un genre de paradis perdu mais un temps où l’individu en crise avec le monde découvre les règles du jeu social qui définit le monde des adultes, un monde appréhendé avec méfiance