Premier court du réalisateur américain culte, bien avant qu’il se lance dans le mythique « Monty Python », « Storytime » ouvre le festival européen du court métrage de Brest ce soir. Au rendez-vous, la triple histoire loufoque d’un cafard joyeux, d’un Einstein relativement méconnu et de cartes de vœux qu’il vaut mieux ne pas envoyer. Un humour sardonique qui est encore aujourd’hui la marque de fabrique de la bande pythonienne.
Parallèlement à sa compétition européenne, le Festival de Brest a sélectionné 18 œuvres ultra courtes comprises entre deux et sept minutes, pour figurer dans sa compétition Cocotte Minute. L’humour, la dérision, la provocation, et la fantaisie de ces films devront rivaliser pour tenter de glaner le Prix du public et le Prix Canal +.
Pour sa 25e édition (8-14/11), le Festival Européen du Film Court de Brest rassemblera une sélection de plus de 200 oeuvres issues des quatre coins du continent. Comme à l’accoutumée, les cinéphiles retrouveront le meilleur de la production de l’année à travers les sections régulières du festival telle que la compétition européenne que voici, que voilà.
Le Festival européen du film court de Brest fêtera ses 25 ans du 8 au 14 novembre 2010. Un mois auparavant, le 12 octobre, le festival aura droit à sa carte blanche dans le cadre des soirées Bref.
Du 8 au 14 novembre 2010, le Festival Européen du Film Court de Brest fêtera ses 25 ans. Un appel à films est d’ores et déjà d’actualité. La date limite pour les films français est fixée au 16 juillet 2010, celle des films européens au 2 août 2010.
Au Festival européen du film court de Brest et aux Rencontres Henri Langlois à Poitiers, la légèreté et la fraîcheur se sont illustrées avec la joliesse bulgare de « Posrednikat » et son traitement subtil du thème de l’enfant tiraillé entre deux parents divorcés.
À l’occasion de ses 20 ans, le Festival de Brest a eu la douce idée d’éditer, en 2005, un DVD « Spécial Anniversaire », en partenariat avec la revue Repérages. En présentant un large éventail de films venus de toute l’Europe, ce Festival est devenu une formidable passerelle entre les pays et les œuvres d’ici et d’ailleurs, pour le plus grand plaisir des cinéphiles et du grand public. Coups de projecteur, de parapluie, et de cœur, sur la présente sélection.
Après avoir collaboré à plusieurs festivals québécois, Bernard Boulad a rejoint le Festival européen du film court de Brest. Depuis deux ans, il en est le directeur artistique. Le hasard a ses bons côtés : Bernard Boulad se laisse parfois apercevoir, de façon impromptue, du côté de Paris. Bouton-Enregistreur enfoncé, à proximité des sapins de l’église Saint-Eustache, à l’aube du 25ème anniversaire du Festival.
Battue et humiliée, mais toujours sous l’emprise de son bourreau, une mère souhaite recouvrer sa dignité par la liberté. Présenté à Brest, « Leaving » rappelle avec émotion qu’en moyenne, une femme battue s’enfuit cinq fois de chez elle avant de quitter définitivement celui qui la maltraite, et que ce dernier est le plus susceptible de la tuer au cours des six mois qui suivent. Une réalité qui renforce tristement le propos du film de Richard Penfold et Sam Hearn.
Grand Prix de la Cinéfondation et Prix Européen France 2 au dernier Festival de Brest, « Bába » de la tchèque Zuzana Špidlová séduit les sens par son sujet, son traitement, et sa rigueur. Ce film d’école de la FAMU confirme la réputation du cinéma d’Europe de l’Est tout en identifiant une nouvelle réalisatrice à suivre.
Il y a un mois, le Festival européen du court métrage de Brest disait au revoir à sa 24ème édition. Pendant neuf jours, une chouette quantité de films en compétition européenne ou en Cocotte Minute (œuvres ultra courtes) y était projetée, en parallèle à des programmes Brest Off, un focus sur l’Europe de l’Est, une porte ouverte sur l’animation, des avant-premières de longs, et deux rétrospectives, l’une autour d’Éric Rohmer, l’autre autour de Fatih Akin. Brest s’annonçait gai et pertinent. Confirmation en plusieurs points…
Parallèlement à sa compétition européenne, le Festival de Brest a sélectionné 19 œuvres ultra courtes comprises entre deux et sept minutes, pour figurer dans sa compétition Cocotte Minute. L’humour, la dérision, la provocation, et la fantaisie de ces films devront rivaliser pour tenter de glaner le Prix du public et le Prix Canal +.
7-15 novembre : pendant 9 jours, le Festival du court métrage de Brest vivra sa 24ème édition. Au programme : 200 films sélectionnés, 24 pays représentés, 9 programmes de compétition européenne, 1 compétition Cocotte minute, 5 programmes Brest Off, 2 rétrospectives autour d’Eric Rohmer et Fatih Akin, 1 focus sur l’Europe de l’Est, 1 panorama axé sur l’animation, 2 avant-premières de long métrage, et 4 expositions. Brest s’annonce gai et pertinent. Sans plus tarder, découvrez les films en compétition.