Après un film semi-expérimental assez dur de 22 minutes, Fireworks, nous ne sommes pas mécontents de tomber sur cette petite parenthèse de 7 minutes, qu’est « Klein » de Sanne Vogel, dans le programme 6 de la compétition européenne du 27e Festival de Brest.
John a un seul et unique objectif : remporter le concours Georgia Bodybuilding Championships. Pour cela, il impose à son corps une discipline de fer. Sa vie est rythmée par les entraînements, le reste est accessoire.
Le 27ème Festival européen du film court de Brest a démarré hier soir, avec un programme et un cri du cœur : Shorts’Attack ! Avant de découvrir en fin de semaine notre Prix Format Court, attribué au sein de la compétition européenne, nous vous proposons de découvrir jour après jour, les films qui nous ont le plus séduits, qu’ils soient issus de la Cocote Minute, de la compétition nationale ou européenne.
Pour la première fois, nous remettrons un prix Format Court à l’occasion de la 27e édition du Festival européen du Film Court de Brest. Depuis la création du site, en 2009, nous observons attentivement les oeuvres fortes et originales dénichées dans tous les coins de l’Europe par ce festival éclectique, ayant véritablement sa place dans le monde du court.
Le Festival de Brest inaugure cette année une nouvelle compétition, celle des films français, et l’ouvre aux premiers films et films d’école. Une dizaine de titres, regroupés en deux programmes, la compose.
Parmi les films en compétition au Festival de Brest, figure ceux de la section Cocote Minute, d’une durée de moins de 10 minute et sans dialogues. Mélange de formes et de styles différents, ce programme décalé dévoilera cette année treize histoires audacieuses, et souvent loufoques.
Au moment où se déroule ailleurs les Rencontres Henri Langlois spécialisées dans les films d’étudiants, notre dernier sujet sur Brest sort avec un petit retard et une nette priorité pour les premières et secondes oeuvres. En lien avec les écoles de cinéma, les programmations d’autres festivals et les auteurs déjà repérés précédemment, le festival a eu la qualité de nous dérouter par le passé avec des films tels que “Hostmannen” et « Moja biedna glowa » (Ma pauvre tête).
Après « Sister » (2004), « Dad » (2006), « Son » (2007), voici « Baby », le dernier-né de Daniel Mulloy (elle était facile). Le réalisateur multi-récompensé est revenu cette année glaner des prix un peu partout en festivals dont la mention spéciale du jury à Brest le mois dernier.
Depuis un an, le DVD traînait dans la pile des non vus, non traités, non évalués. Dépoussiéré, “Estran – 21 courts métrages” intègre, une édition plus tard, notre dossier spécial consacré au Festival du Film Court de Brest.
Pour sa 26e édition, le Festival européen du film court de Brest s’est mis au rythme de l’Espagne et l’ambiance n’en pouvait être que caliente. Il est vrai que depuis maintenant à peu près deux-trois ans, les films hispaniques se sont invités en masse dans plusieurs festivals français et ont été à chaque fois plus visibles sur nos toiles hexagonales.
Vérifiez dans votre agenda. Entre les Tonnerres de Brest (rassemblement maritime en juillet) et Noël à Brest (marché de Noël en décembre), le Pays de Brest accueille en novembre le Festival européen du film court. Jusqu’ici, Format Court se tenait à distance géographique mais non éditoriale (voir nos précédents Focus 2010 et 2009) du festival. Cette année, un nouveau rapprochement s’est effectué entre les deux structures en F. Journal de bord.
Brest, en Bretagne. Brest, 22ème commune la plus peuplée de France. Brest et le bilinguisme (français/breton). Brest et la mer. Brest et ses mouettes en bottes au n°13. Brest et ses symboles (phares, voiliers, joyeux locaux). Brest, 26ème Festival Européen du Film Court. Brest, notre portfolio.
Rendez-vous incontournable du Festival Européen du Film Court de Brest, la compétition Cocotte minute est fébrilement attendue par le public tous les ans. Retour sur une composition filmique et acrobatique d’œuvres classées dans la catégorie des très courts.
Le festival de Brest, espace important pour le court de qualité, s’est achevé il y a 10 jours. Beaucoup de premiers et de deuxièmes films y étaient présentés, avec une nette majorité européenne (six films français seulement faisaient partie de la compétition officielle). Eclairage, ces jours-ci, sur la deuxième manifestation nationale la plus courue en terme de films courts.
Brest accueille depuis 26 ans un festival européen de courts métrages. C’est une tradition depuis trois ans : revoici la liste des films maintenus par le comité de sélection du festival. Beaucoup de films nous apparaissent comme inédits, et leurs pays d’origine (Slovaquie, Roumanie, Islande, Suède, …) nous attirent d’ores et déjà. En attendant notre Focus sur le festival qui se tiendra du 8 au 13 novembre, découvrez les titres qui seront prochainement départagés par le Jury.
Les pays de l’Est continuent à nous intriguer. Après la Pologne, c’est au tour de la Hongrie de nous stimuler l’esprit. « Ünnep » (Celebration), projeté hier et aujourd’hui au festival de Brest, offre un condensé de retenue, de questionnement intime et de cicatrices mal fermées.
Fort et libre, le cinéma polonais s’imprime à vif. Que ce soit devant un court de Polanski ou devant un long de Skolimowski, quelque chose vous précipite dans du jamais vu. Appelez ça une baffe dans la gueule ou un joli précipice, si vous le voulez. Apprêtez-vous surtout à découvrir dans le même ordre d’idées « Moja biedna głowa » (Ma pauvre tête) d’Adrian Panek, projeté en compétition ces jours-ci à Brest.
Voici un film de saison. « Höstmannen » (“Autumn Man”) de Jonas Selberg Augustsén débarque en Bretagne après avoir fait marrer plusieurs festivals. Suédois, beau et fou, ce court est l’une des surprises de la compétition européenne de Brest.