Dernière porte au sud de Sacha Feiner
Récompensé du Prix Format Court au 24ème festival Le Court en dit long, « Dernière porte au sud » est un film d’animation de Sacha Feiner, adapté de la bande dessinée éponyme de Philippe Foerster.
Récompensé du Prix Format Court au 24ème festival Le Court en dit long, « Dernière porte au sud » est un film d’animation de Sacha Feiner, adapté de la bande dessinée éponyme de Philippe Foerster.
Un enfant et sa deuxième tête sont enfermés dans un manoir immense. Un jour ils aperçoivent une lumière étrange et décident d’explorer le monde pour en trouver le bout.
Réal. : Sacha Feiner
Animation, 14’30, 2015
Belgique, France
Le 31ème Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) se déroulera du vendredi 30 septembre au jeudi 6 octobre 2016. Pour la quatrième année consécutive, Format Court attribuera un prix parmi les 12 films de la compétition internationale.
Dérogeant à ses habitudes, Asgeir, accepte la présence de Woré, une jeune femme africaine, à bord de son camion. Réunis le temps d’une journée sur les routes d’Islande, ces deux êtres enfermés dans leur solitude vont découvrir, malgré eux, une part de l’autre mais aussi d’eux-mêmes.
Réal. : Monique Marnette, Caroline D’Hondt
Fiction, 12′, 2014
Belgique
Prix du meilleur court métrage au FIFF (Namur) en 2015 et présenté cette année au Court en dit long à Paris, « The Hidden Part » de Monique Marnette et Caroline d’Hondt est en quelque sorte un road movie détourné, un portrait subtil et réflexif de l’exil et de la solitude.
Pour la deuxième année consécutive, Format Court est partenaire du festival Le Court en dit long dont la 24ème édition s’est terminée hier soir au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris.
Nouveau Prix Format Court remis au Festival de Brive 2016, « Le Mali (en Afrique) » est une comédie sombre de Claude Schmitz aussi agréable au premier coup d’œil que riche de bonnes idées et merveilleusement dosée au second visionnage, au troisième etc. Ce n’est pas un hasard donc si le film évoque habilement de multiples références qui viennent échafauder une histoire qui n’en finit pas de s’approfondir.
Alors qu’ils tentent de fuir l’Europe en crise, Darius, Stanislas et Gabriel tombent en rade dans un domaine privé. Le propriétaire propose de les héberger le temps de réparer leur véhicule, sous condition d’effectuer des travaux de rénovation dans le bâtiment et de distraire sa fille dont le fiancé américain est décédé la veille.
Depuis 3 ans, la revue en ligne Format Court, dédiée au court métrage, accompagne le festival de Brive et soutient de jeunes auteurs maîtrisant l’art de raconter des histoires singulières et originales.
Lorsqu’une des étoiles les plus brillantes quitte le firmament cinématographique, nous ne pouvons que nous féliciter de l’avoir vue filer. L’annus horribilis qu’a été 2015 sur tous les plans n’a pas épargné le septième art, le décès de Chantal Akerman signalant la disparition d’une des plus grandes artistes de nos jours. Cinéaste, académicienne et vidéaste, Akerman a laissé derrière elle un vaste œuvre comprenant autant de courts métrages que de longs, de documentaires que de films de fiction, des bijoux uniques, indéfinissables et inclassables.
« Dans la joie et la bonne humeur » de Jeanne Boukraa a remporté l’an passé le Grand Prix au Festival Premiers Plans d’Angers avant d’être sélectionné au dernier festival Court Métrange de Rennes. En moins de 6 minutes, le film parcourt les étapes phares de l’évolution de notre espèce depuis le moment où les scientifiques découvrent la clé de l’immortalité jusqu’à celui où, contre toute attente, l’espèce humaine est menacée d’extinction…
Dans ce documentaire expérimental, nous observons, à travers des scènes du quotidien, les dégénérescences d’une société où la technologie grandissante à permis de réaliser le rêve ultime de tous les hommes : L’immortalité.
Réal. : Jeanne Boukraa
Animation, 5’52’’, 2014
Belgique
Le Net nous offre de bonnes surprises en ces temps moroses : « Oh Willy… », le très beau film de Emma de Swaef et Marc Roels, primé un peu partout, est en ligne depuis quelques jours. Lauréat du Cartoon d’or 2012, nommé aux César 2013, disponible en DVD en Belgique et aux Pays-Bas, il est enfin visible en intégralité sur différents sites web dont la page You Tube du distributeur Autour de Minuit ainsi que la page Viméo des réalisateurs, toujours aussi unis et créatifs.
Presque dix ans après être sorti de l’IAD (Institut des arts de diffusion, Belgique), Jean-François Ravagnan, réalise son premier court-métrage de fiction, « Renaître ». Par amour pour Malik , Sarah part en Tunisie pour le retrouver et lui demander d’être sa « première fois » alors qu’il est sur le point d’en épouser une autre. Primé par Format Court au dernier festival du film francophone de Namur, le film est un portrait de femme actuelle inspiré de « Rosetta » et de « Adèle H ».
Lauréat du Prix Format Court au FIFF à Namur cette année avec « Renaître », Jean-François Ravagnan avait réalisé en 2007 son film de fin d’études à l’IAD (Institut des arts de diffusion). « En attendant les Olivettes » est un documentaire profondément humain sur l’âge et l’amour.
Sorti de l’IAD (Institut des Arts de Diffusion) en 2007, c’est en tant qu’assistant réalisateur sur certains films des frères Dardenne, notamment, que Jean-François Ravagnan apprend le métier avant de réaliser son premier film de fiction « Renaître », produit par Les Films du Fleuve. Primé par Format Court au dernier Festival du film francophone de Namur (FIFF) dans la compétition internationale, le film dresse le portrait d’une jeune femme jusqu’au-boutiste qui pose un geste fort pour se libérer d’un amour impossible.
Prix Format Court au dernier festival du film francophone de Namur, « Renaître » du réalisateur belge Jean-François Ravagnan, aborde la question du choix décisif d’un point de vue féminin. Un parti pris réussi aussi bien dans sa narration laconique que dans sa manière d’être au plus près des personnages. Un instantané cinématographique où l’on ressent l’urgence du désir comme réponse ultime à la séparation inéluctable.
Sarah, jeune femme d’origine maghrébine vivant en Belgique, apprend que Malik, l’homme qu’elle aime, s’apprête à se marier avec une autre femme en Tunisie. Seule, mentant à ses proches, Sarah traverse la Méditerranée pour le revoir une dernière fois. Même si elle sait que le mariage de Malik est inévitable, Sarah est déterminée à vivre jusqu’au bout l’amour qu’ils se sont porté.
Réal. : Jean-François Ravagnan
Fiction, 23′, 2015
Belgique
Le Jury Format Court, composé de Marie Bergeret, Juliette Borel et Adi Chesson, a décidé de remettre hier soir, lors du Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF), le prix du meilleur court métrage de la compétition internationale à « Renaître » de Jean-François Ravagnan, un film qui, bien que d’une facture classique, aborde la question du choix décisif d’un point de vue féminin.
Réalisatrice française d’origine grecque, Sandra Fassio est à l’origine de « Kanun », un polar mettant en scène Kevin Azaïs confronté à la loi du kanun, un code de l’honneur en vigueur dans la communauté albanaise. Le film a obtenu notre Prix Format Court au festival Le Court en dit long, en juin dernier à Paris. Ce jeudi soir, la réalisatrice présentera son film, au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Pour Format Court, elle revient sur ses études à l’IAD, ses débuts tardifs dans la profession, son lien au montage, son intérêt pour les non-dits et les sujets difficiles.