C comme Chainsaw
Le romantisme est comme une tronçonneuse : une bête bien dangereuse.
Réal. : Dennis Tupicoff
Animation, Documentaire, 24′, 2007
Australie
Le romantisme est comme une tronçonneuse : une bête bien dangereuse.
Réal. : Dennis Tupicoff
Animation, Documentaire, 24′, 2007
Australie
Dans les années trente, à l’approche de Noël, dans les bureaux de l’hôtel de ville d’une grande métropole, un promoteur présente au maire un nouveau grand projet immobilier. Au milieu de la foule qui s’active dans les rues de la ville, une jeune femme en haillons, la main tendue, le dos courbé, demande la charité aux passants.
Réal. : Vincent Paronnaud, Lyonnel Mathieu
Animation, 6′ 2004
France
Un voleur entre dans une épicerie pour faire un hold-up. Dans le magasin, une vieille grand-mère qui voit mal fait ses courses comme elle peut. Soudain, tout s’enchaîne dans une confusion totale sous l’oeil de la caméra de surveillance…
Réal. : Johanna Bessiere, Cécile Dubois Herry, Nicolas Chauvelot, Simon Rouby, Olivier Clert, Yvon Jardel
Animation, 3′, 2007
France
Ava règne sur un marais peuplé de créatures féeriques. Un étrange personnage observe en secret ce royaume luxuriant, espérant y trouver la solution pour sauver son frère jumeau malade.
Réal. : Nadia Micault, Lorenzo Nanni
Animation, 12′, 2008
France
Film d’animation sur les derniers moments de trois vies. Plusieurs techniques sont utilisées pour illustrer chaque situation : un homme qui se noie, une fille qui tombe d’un bâtiment et une voiture sur le point d’avoir un accident.
Réal. : Sarah Cox
Animation, expérimental, 4’16 », 1997
Royaume-Uni
Pays de mots, arbres à lettres, livres interdits, idées reçues, émotions-frissons, … Nourri par des mélodies, des typographies, et des idéogrammes variés, « Le Bûcheron des mots » est un film poétique à la croisée de plusieurs imaginaires, rencontres, et cultures. Interview à Annecy, avec Izù Troin, son réalisateur.
Dans un pays où les habitants se nourrissent de lettres et de mots cueillis dans les arbres, Nadal, un bûcheron des mots, fait une rencontre qui change sa vie…
Réal. : Izù Troin
Animation, 11’20 », 2009
France
Au début, il ne s’agissait que de traverser l’Atlantique à la rame, un exploit comme un autre…Mais certains voyages durent toute une existence et la vie à deux (dans un espace réduit) n’est pas facile…Aussi faut-il sauver les apparences !
Réal. : Jean-François Laguionie
Animation, 21′, 1978
France
La 3ème édition du Festival International d’Animation Expotoons se tiendra du 25 au 28 novembre à Buenos Aires (Argentine). À la demande de plusieurs boîtes de productions et de studios indépendants, Expotoons a repoussé au 30 septembre sa date limite d’inscription de films pour la compétition officielle.
En 2003, Hanna Heilborn et David Aronowitsh ont recueilli le témoignage de Abouk et Machiek, deux anciens enfants esclaves, victimes de la guerre au Soudan. Le résultat, « Slavar » (Slaves) est un film suédois, dur, et nécessaire, lauréat du Prix Unicef et du Cristal d’Annecy, qui démunit son spectateur, par son sujet, ses voix, et ses regards. Entretien avec Hanna Heilborn, co-réalisatrice du film.
D’après un entretien avec un garçon de douze ans, Giancarlo, réfugié clandestin en Suède. En combinant l’entretien réel à des images animées, nous voulons créer un espace où vous pouvez entendre et absorber, d’une façon nouvelle, l’histoire d’un enfant réfugié.
Réal. : Hanna Heilborn, David Aronowitsch, Mats Johansson
Documentaire animé, 7’30’’, 2002
Suède, Danemark, Finlande
Lorsqu’un film s’ouvre sur des gravures romantiques animées du XIXème, le spectateur s’arrête pour regarder. Sélectionné à l’ACID (à Cannes) cette année, « Je criais contre la vie, ou pour elle » est une véritable symphonie en sépia qui innove sur le plan formel. Son auteure, Violaine Tatéossian, alias Vergine Keaton, historienne d’art et animatrice française, démontre qu’elle a plus d’un tour dans son plumier.
Dans une forêt, un troupeau de cerfs se retourne contre la meute de chiens qui le poursuivait jusque-là. De cette étrange course naissent des paysages s’élevant du sol.
Réal. : Vergine Keaton
Animation, 9’10 », 2009
France
Après le succès de « KJFG n°5 », Alexei Alexeev a crée une série de quatre petits films, chacun d’une durée d’une minute, pour le compte de la chaîne de télévision Nickelodeon. En juin, « Log Jam » (« The Log », « The Rain », « The Moon », « The Snake ») a reçu le Cristal pour une production TV, à Annecy. L’ours, le loup, et le lapin, en ont profité pour fêter leur prix. Avant de se remettre à jouer leur morceau favori.
En pleine forêt, trois animaux n’ont qu’une passion : improviser librement avec leurs instruments personnalisés. L’ours est à la basse, il y a un loup hurleur et un lapin qui bat la mesure – avec sa tête.
Réal. : Alexey Alexeev
Animation, 4′, 2008
Hongrie
Diffusé au cinéma, avant « Up », « Partly Cloudy » est le dernier-né des studios Pixar. À la fois drôle et poétique, il offre, par l’entremise de son réalisateur, Peter Sohn, une astucieuse pirouette à la redoutable question, “d’où viennent les bébés ?”.
Tout le monde sait que les cigognes apportent les bébés, mais où diable les trouvent-elles ? La réponse est : tout là-haut dans la stratosphère.
Réal. : Peter Sohn
Animation, 5’47 », 2009
États-Unis
Lauréat du Prix Unicef et du Cristal d’Annecy, « Slavar » est une expérience cinématographique qui ne laisse pas indifférent. En livrant le témoignage de Abuk (9 ans) et de Machiek (15 ans) enlevés par la milice soudanaise et exploités comme esclaves, les réalisateurs suédois, Hanna Heilborn et David Aronowitsch abordent un sujet percutant et engagé.
D’après une interview faite en 2003. Comme des milliers d’autres enfants, Abouk, 9 ans et Machiek, 15 ans, ont été enlevés par une milice commanditée par le gouvernement soudanais et utilisés comme esclaves.
Réal. : Hanna Heilborn, David Aronowitsch
Documentaire animé, 15’57’’, 2008
Suède
Lauréat du Prix Fipresci (auquel Format Court était associé cette année), « El Empleo », de Santiago Grasso, est le tout premier film argentin primé à Annecy, depuis la création du Festival. Révélation de cette édition, il mêle subtilement passivité du quotidien, individus-objets, et sobriété du dessin.