M comme Meska sprawa (Une affaire d’hommes)
Trois jours dans la vie d’un garçon de treize ans qui tente désespérément de dissimuler les coups que lui inflige son père.
Réal. : Slawomir Fabicki
Fiction, 25′, 2001
Pologne
Trois jours dans la vie d’un garçon de treize ans qui tente désespérément de dissimuler les coups que lui inflige son père.
Réal. : Slawomir Fabicki
Fiction, 25′, 2001
Pologne
Parfois, même le fardeau le plus lourd peut être plus léger que l’air. Il faut aussi espérer quand on frappe à une porte.
Réal. : Vladimir Kott
Fiction, 19’, 2004
Pologne
Section parallèle du Festival de Cannes, la Semaine de la Critique se consacre, depuis ses débuts, à la découverte des jeunes talents. Dès sa création par le Syndicat Français de la Critique de Cinéma en 1962, elle s’est fixée pour mission de mettre à l’honneur les premières et deuxièmes œuvres des cinéastes du monde entier. Bernardo Bertolucci, Jean Eustache, Otar Iosseliani, Ken Loach, Wong Kar Wai, Jacques Audiard, ou encore Arnaud Desplechin ont fait leurs débuts à la Semaine de la Critique.
Primé à de nombreux festivals partout dans le monde et sélectionné en compétition internationale à la 32ème édition du Festival des films d’écoles à Poitiers, « The Electrician » de Miina Aaljärvi pose un regard comique et inédit sur l’éternel thème de la mort.
Depuis ses débuts, en 1980, Fujifilm soutient le court métrage et aide à sa diffusion via des partenariats avec des Festivals de films courts dans toute la France. Parallèlement à ces actions, les soirées « Fuji Tous courts » ont été créées. Tous les deux mois, Fujifilm permet aux réalisateurs, directeurs de la photographie et producteurs de courts métrages de projeter en 35mm leur toute dernière création cinématographique. Les soirées permettent la projection de plusieurs courts métrages. Une rencontre avec les réalisateurs, producteurs et directeurs de la photographie des films présentés fait suite à ces projections.
Ayant quitté sa famille et ses proches pour suivre ses études d’avocat, Samir retourne dans son quartier d’origine pour assister à la circoncision de son petit frère.
Réal. : Nassim Amaouche
Fiction, 29’23’’, 2003
France
Dans la rue commerçante la plus animée du quartier chinois, Delfino se débat dans les formalités pour obtenir la nationalité américaine, John se démène pour obtenir un permis de construire et Vito vient enfin de gagner le gros lot. Ici, on peut vraiment faire fortune et profiter de tout ce qui s’offre à vous.
Réal. : Damian John Harper
Documentaire, 55’, 2008, Allemagne
Un train entre dans une fabrique de savon. A l’intérieur: des immigrés clandestins. L’une d’eux quitte le train. Dans l’usine, elle trouve du secours, de l’aide et de la solidarité.
Réal. : Elisa Miller
Fiction, 26’, 2008
Mexique
Les interviews de directeurs artistiques se poursuivent sur Format C. Après Bernard Boulad du Festival de Brest, c’est au tour de Luc Engélibert des Rencontres Henri Langlois de s’exprimer sur le court en général, et les films d’écoles en particulier. Entretien-brasserie, Place du Trocadéro, en compagnie du bruit, du thé, et des changements de service.
Eté, automne, hiver… Depuis quelques saisons, les quelques photos restaient très discrètes. Délaissées au profit d’autres images, elles reviennent intimidées, en ce début d’année, à dix-sept, pour figurer dans l’album de Poitiers.
Rúnar Rúnarsson est de retour. Celui qui aurait eu le cancer ou des hémorroïdes s’il n’avait pas fait de cinéma a probablement trinqué à la brennivín (alcool de pomme de terre) en apprenant qu’« Anna », son dernier film, très côté en festival depuis sa sélection à la Quinzaine des Réalisateurs, avait remporté le Grand Prix du Jury aux dernières Rencontres Henri Langlois. Tout comme « Smáfuglar », son précédent court, « Anna » est un film profondément personnel et juste, nourri de transitions, de choix, d’absences, de puretés, et d’émotions contrastées.
Il était une fois une autre année, un autre mois, et un autre festival. En décembre Zéro Neuf, à l’instar des éditions précédentes, les 32èmes Rencontres Henri Langlois mettaient à l’honneur les écoles de cinéma, les films d’étudiants, et les jeunes réalisateurs. Créé à Tours par Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française, le festival, initialement consacré aux films de fin d’études, s’est ouvert en l’an 2000 à tous les films d’écoles, sans distinctions d’années ou de cursus.
À l’occasion de ses 20 ans, le Festival de Brest a eu la douce idée d’éditer, en 2005, un DVD « Spécial Anniversaire », en partenariat avec la revue Repérages. En présentant un large éventail de films venus de toute l’Europe, ce Festival est devenu une formidable passerelle entre les pays et les œuvres d’ici et d’ailleurs, pour le plus grand plaisir des cinéphiles et du grand public. Coups de projecteur, de parapluie, et de cœur, sur la présente sélection.
L’association Les Vidéophages (Toulouse) est née du désir de faire partager des émotions cinématographiques, d’expériences diverses autour de la création audiovisuelle dite «indépendante», de l’envie de créer des rencontres et de provoquer des échanges. Le 04 janvier, à 20h30, l’association proposera aux Pavillons sauvages, des films d’atelier, une avant-première du festival Concours de Courts, des images d’ailleurs, un voyage, de la danse, et de la musique.
Panique dans les bois : Egor le lapin voit les flammes manger sa maison. Aussi vite que ses pattes peuvent le porter dans son petit short rouge, il court solliciter l’aide de l’administration, supposée être à l’écoute du peuple et des rongeurs à grandes oreilles. Seulement, Egor a oublié le règlement : pas de papiers, pas de services.
Quais du Polar célèbre la pluralité du genre noir depuis 2005. En explorant la littérature et le cinéma, il célèbre la pluralité. Les éditions passées ont notamment vu défiler Douglas Kennedy, Harlan Coben, Claude Chabrol ou Alain Corneau… Pour sa 6ème édition (9, 10 et 11 avril 2010), le Festival mettra à l’honneur les jeunes réalisateurs et le court-métrage avec Courts du Polar, un concours de courts-métrages noirs.
Fondé en 1960, le Festival international du film d’animation fêtera en 2010 son 50e anniversaire. Vous souhaitez inscrire un projet ou un film ? Faites-le avant le 15 février 2010.
Grand Prix de la Cinéfondation et Prix Européen France 2 au dernier Festival de Brest, « Bába » de la tchèque Zuzana Špidlová séduit les sens par son sujet, son traitement, et sa rigueur. Ce film d’école de la FAMU confirme la réputation du cinéma d’Europe de l’Est tout en identifiant une nouvelle réalisatrice à suivre.
À Angers, les premiers plans qui comptent ne sont pas seulement liés au long métrage. La compétition se penche aussi sur les films d’écoles et les films d’animation. En cliquant sur Alain D., découvrez les titres en compétition.
Pour sa 31ème édition, le Festival Média 10-10 a fait preuve d’audace en élargissant sa programmation à des films inclassables, offrant par là même un espace ouvert aux créations filmiques en tout genre. Pour la première fois, une compétition OVNI (objets visuels non identifiés), composée de 16 courts atypiques venus d’un peu partout, a envahi les écrans de la Maison de la Culture. Généreusement représenté, le Portugal a coloré les projections avec cinq films et cinq artistes à la personnalité plutôt expérimentale.