Festival Court Métrange, les photos

Festival Court Métrange, les photos

Il y a quelques jours, plusieurs membres de l’équipe assistaient au Festival Court Métrange, à Rennes, pour faire le plein d’interviews, présenter notre toute première carte blanche en festival et remettre un nouveau Prix Format Court (à « Fuga » de Juan Antonio Espigares). Avant de parcourir notre focus consacré à cette édition anniversaire (10 ans, une coupe ?), nous vous en proposons un petit reportage photo. L’occasion de découvrir cette manifestation de l’intérieur, d’associer des visages à nos signatures, et de voir quelques festivaliers de sortie, au contact d’objets improbables dans une boutique locale.

Grégoire Colin : « C’est ce lien invisible avec le spectateur qui m’intéresse, que j’essaie de créer mais qui est hyper mystérieux parce qu’il est non palpable »

Grégoire Colin : « C’est ce lien invisible avec le spectateur qui m’intéresse, que j’essaie de créer mais qui est hyper mystérieux parce qu’il est non palpable »

Président du Jury officiel des courts au dernier Festival International du Film Francophone de Namur, Grégoire Colin, comédien devenu réalisateur, nous parle de ses deux films (« La Baie du renard » et « Lisières », tout juste présélectionné aux César), de l’incarnation du rôle et du travail autour de la sensation.

Format Court a plus que jamais besoin de vous !

Format Court a plus que jamais besoin de vous !

Comme vous le savez peut-être, nous avons mis en place une campagne intitulée « Cours, Format, Court ! » pour financer la refonte de notre site internet dédié au court métrage en prévision de ses 5 ans, en janvier. Nous souhaitons encore mieux promouvoir le travail des professionnels du court, développer de nouvelles rubriques (concours, films en ligne, recherches thématiques, …) et optimiser la navigation de Format Court pour votre plus grand confort. Pour cela, nous avons besoin d’experts en la matière.

Oh Willy… » de Emma de Swaef et Marc Roels : Métrange du Public – Format Court

Oh Willy… » de Emma de Swaef et Marc Roels : Métrange du Public – Format Court

À l’issue de la carte blanche Format Court présentée en ouverture du 10ème Festival Court Métrange, ce jeudi 17 octobre 2013, le public rennais a eu l’opportunité de récompenser un film de notre sélection. Le film « Oh Willy »… de Emma de Swaef et Marc Roels (Belgique, France) a ainsi remporté le « Métrange du Public – Format Court » parmi les six films programmés. En l’absence des réalisateurs, Mathieu Courtois, l’un des co-producteurs du film (Vivement lundi !) a reçu le prix des mains de Katia Bayer, la Rédactrice en chef du site.

Carte blanche Format Court au Festival Court Métrange !

Carte blanche Format Court au Festival Court Métrange !

Cette semaine, du 17 au 20 octobre 2013, Court Métrange, le festival international du court métrage insolite & fantastique de Rennes, fêtera ses 10 ans. Partenaire du festival depuis trois éditions, Format Court y bénéficiera d’une carte blanche présentée en séance d’ouverture ce jeudi soir à Rennes, en prévision des cinq ans du site en janvier. Constitué par Julien Beaunay, Agathe Demanneville, Xavier Gourdet, Julien Savès et Katia Bayer, le programme est composé de six films plutôt étranges, concourant pour le prix du public, ramenés de balades en festivals et sur la Toile.

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui, élu Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Les Jours d’avant de Karim Moussaoui, élu Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Le 28ème Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) s’est clôturé ce vendredi 4 octobre. Pour la première fois, Format Court y a attribué le Prix Format Court du Meilleur Court Métrage international. Parmi les douze films en compétition, le Jury Format Court (composé de Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) a choisi de récompenser le film « Les Jours d’avant » de Karim Moussaoui pour la maîtrise de sa mise en scène, sa narration à double regard et sa façon très personnelle de filmer l’adolescence.

Nouveau Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Nouveau Prix Format Court au Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) !

Ce vendredi 27 septembre, s’ouvre la 28ème édition du Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF). Depuis quelques années, nous suivons cette manifestation, présidée par Olivier Gourmet, qui met en avant la diversité de la Francophonie. Cette année, nous accompagnerons le festival autrement en y remettant pour la première fois un Prix Format Court parmi les douze films de la compétition internationale. Le Jury Format Court (composé de Katia Bayer, Marie Bergeret, Juliette Borel, Adi Chesson et Géraldine Pioud) consacrera un focus spécial au film primé. Celui-ci sera également projeté lors d’une séance Format Court au Studio des Ursulines (Paris, 5ème). Le Prix Format Court sera dévoilé lors de la clôture du festival, le 4 octobre prochain.

Rentrée des courts

Rentrée des courts

C’est la rentrée. Du côté des festivals, les évènements se bousculent et se chevauchent même. Cette semaine, Silhouette referme ses parapluies pour ses projections en plein air, l’Etrange Festival affole et perturbe ses spectateurs au Forum des images, Off-Courts invite une nouvelle fois le Québec au centre de Trouville.

Gabriel Gauchet : « Même dans les limites, j’arrive à trouver toutes les libertés que je veux »

Gabriel Gauchet : « Même dans les limites, j’arrive à trouver toutes les libertés que je veux »

Dans quelques jours, Gabriel Gauchet présentera « Z1 », en compétition internationale au Festival de Locarno. L’an passé, il y a remporté le Pardino d’or pour « The Mass of Men », que nous vous avons présenté il y a quelques jours sur Format Court. En voyant ce film d’école au dernier Festival de Grenoble où il a obtenu le Grand prix, le Prix du jury presse et une Mention spéciale du jury jeune, nous avons été surpris par l’originalité de son sujet, sa tension palpable et la qualité d’interprétation de ses deux comédiens principaux.

Augusto Zanovello : « La force du volume réside dans le fait qu’on y trouve de la matière, de la texture, une vraie lumière et une certaine profondeur »

Augusto Zanovello : « La force du volume réside dans le fait qu’on y trouve de la matière, de la texture, une vraie lumière et une certaine profondeur »

« Lettres de femmes » de Augusto Zanovello est un film d’animation en volume se déroulant pendant la première guerre mondiale et qui se distingue par son sujet (des lettres de femmes soulagent les plaies des hommes blessés au front) et sa technique mélangeant le carton et le papier. Primé en mai (Coup de Cœur Unifrance à Cannes), en juin (Prix du public à Annecy) et en juillet (Prix spécial du Grand jury, Prix du jury jeune et mention spéciale du jury presse à Grenoble), le film est en lice pour le Cartoon d’Or 2013, avec cinq autres titres.

Clément Gonzalez : « Faire des films en 48h est un tremplin parmi d’autres dans le milieu du court métrage »

Clément Gonzalez : « Faire des films en 48h est un tremplin parmi d’autres dans le milieu du court métrage »

Récompensé du Prix d’aide à la création et du Prix du public au dernier Festival de Grenoble, Clément Gonzalez, réalisateur de « As it used to be », a pris comme habitude de ne pas attendre des années pour tourner ses films. Ses trois courts, « Casse-gueule », « Du Sable dans les pompes » ou encore « As it used to be », ont chacun été réalisés en 48 heures, entre 2011 et 2013, via le 48 Hour Film Project.

Le Festival de Grenoble 2013 en quatre films

Le Festival de Grenoble 2013 en quatre films

Déjà évoqués dans notre précédent reportage sur le festival de Grenoble, « As it used to be » de Clément Gonzalez, « Le Mûrier Noir » (Shavi Tuta) de Gabriel Razmadze, « Lettres de femmes » de Augusto Zanovello et « The Mass of Men » de Gabriel Gauchet ont suscité notre intérêt parmi les 34 titres de la compétition. Nous revenons aujourd’hui sur ces quatre films qui, avec « Avant que de tout perdre » de Xavier Legrand, récompensé du Prix du meilleur scénario à Grenoble, seront projetés dans le cadre de la reprise du palmarès du Festival lors de notre première séance Format Court de l’année.

Festival de Grenoble 2013, les plus, les moins

Festival de Grenoble 2013, les plus, les moins

Au terme de six jours de projections, le Festival du court métrage en plein air de Grenoble s’est achevé il y a deux semaines. Plus ancien évènement consacré au court encore existant en France (36 ans au compteur !), le festival, bien moins médiatisé que d’autres, jouit pourtant d’une bonne réputation auprès des professionnels par son ancienneté et son accessibilité. Comme d’autres festivals en région (Brest, Poitiers, Lille, …), celui de Grenoble joue la carte du local, avec comme double particularité d’être organisé par la Cinémathèque locale et de proposer gratuitement des projections de films en compétition.

Felix van Groeningen : « Ce qui me touche, c’est les gens, une multitude d’individus différents »

Felix van Groeningen : « Ce qui me touche, c’est les gens, une multitude d’individus différents »

Considéré comme un pionnier de la Nouvelle Vague belge, Felix van Groeningen tourne des longs-métrages depuis dix ans. Son film le plus connu est le tendre et décalé « La Merditude des choses », réalisé en 2009. Alors que son dernier film, « Alabama Monroe » sort en salles fin août, il était l’un des invités du festival Paris Cinéma dans le cadre du programme Made in Belgiëque. Avec intérêt et curiosité, nous avons découvert les premiers films, courts comme longs, de celui qui était arrivé, avec son équipe, nu et à vélo à la projection officielle de « La Merditude des choses » à la Quinzaine des Réalisateurs, il y a quatre ans.

Festival du film court en plein air de Grenoble, le palmarès & la reprise parisienne (soirée Format Court)

Festival du film court en plein air de Grenoble, le palmarès & la reprise parisienne (soirée Format Court)

Le 36ème Festival du film court en plein air de Grenoble s’est achevé samedi soir. Parmi les 34 titres retenus en compétition, les différents jurys se sont prononcés pour les mêmes films. Le palmarès du Festival sera projeté à Paris, à l’occasion de la première soirée Format Court de l’année, le jeudi 12 septembre 2013, au Studio des Ursulines (5ème). Cette séance bénéficiera de la présence des équipes de films, des membres des différents jurys et de Guillaume Poulet, directeur de la Cinémathèque et du Festival de Grenoble.

La présence du court à Paris Cinéma

La présence du court à Paris Cinéma

Parallèlement aux longs métrages en sélection officielle (dont on vous conseille le très esthétique et bouleversant « Kid » de Fien Troch), le Festival Paris Cinéma propose une grosse sélection de courts métrages jusqu’à mardi prochain. Parmi eux, figure « Taipei Factory », un programme de quatre courts réalisés en tandem par des réalisateurs taïwanais, chilien, français, sud-coréen et iranien), présentés à la dernière Quinzaine des Réalisateurs, dont on vous reparlera très prochainement.

Gudmundur Arnar Gudmundsson : « J’ai laissé parler l’enfant en moi pour qu’il prenne une place d’adulte dans mon film »

Gudmundur Arnar Gudmundsson : « J’ai laissé parler l’enfant en moi pour qu’il prenne une place d’adulte dans mon film »

Après s’être posé des questions sur son avenir, Gudmundur Arnar Gudmundsson a travaillé dans la restauration avant de penser sérieusement au cinéma. Son film, «  Hvalfjordur » (Le Fjord des Baleines), en compétition officielle à Cannes, était l’un de nos films favoris au dernier festival pour son esthétique (paysages islandais, visage angélique) et sa dureté (rapport à la mort, traitement de la solitude). Au final, le film a obtenu l’une des deux Mentions spéciales de Cannes (l’autre allant à « 37°4S » d’Adriano Valerio). Fin mai, nous rencontrions son auteur. Mi-juin, voici son entretien.