Braquer Poitiers de Claude Schmitz

Braquer Poitiers de Claude Schmitz

Claude Schmitz, réalisateur belge de Le Mali (en Afrique) et de Rien sauf l’été, propose une nouvelle fois un court-métrage où la chaleur et les acteurs prennent le temps de se découvrir dans une latence contemplative. Avec Braquer Poitiers, Claude Schmitz a déjà été récompensé de nombreuses fois, entre le Prix Jean Vigo, le Prix Ciné du Festival de Brive ou le Prix Égalité et Diversité au Festival de Clermont-Ferrand.

B comme Braquer Poitiers

B comme Braquer Poitiers

Davantage pieds nickelés que bandits, Francis et Thomas prennent en otage Wilfrid, propriétaire d’un service de Carwash, source de quelques poignées d’euros quotidiennes. Syndrome de Stockholm à l’œuvre chez Wilfrid, mais à sa manière très personnelle, le voilà prendre aussitôt goût à la situation, qu’il se plait même à théoriser amplement, tandis que l’incertitude gagne les deux compères rejoints par leurs amies venues du Sud.
Réal. : Claude Schmitz
Fiction, 59’50’’, 2018
France

Mano a Mano de Louise Courvoisier

Mano a Mano de Louise Courvoisier

Louise Courvoisier est une jeune réalisatrice sortant de la Cinéfabrique, une école de cinéma à Lyon pour les 18-25 ans. En ce 72ème festival de Cannes, Mano a Mano, un film de fin d’étude a gagné le premier prix de la Cinéfondation, une section à Cannes favorisant les talents sortant des écoles de cinéma du monde entier.

M comme Mano a Mano

M comme Mano a Mano

Abby et Luca, un couple d’acrobates de cirque, vont de ville en ville pour se produire sur scène. Leur relation amoureuse se dégrade. Le temps d’un voyage en camping-car jusqu’à la prochaine salle de spectacle, ils vont devoir affronter leurs problèmes et tenter de regagner confiance l’un en l’autre
Réal. : Louise Courvoisier
Fiction, 23′, 2018
France

Claire Denis : “On ne s’attendait pas que nos films soient montrés à l’époque”

Claire Denis : “On ne s’attendait pas que nos films soient montrés à l’époque”

Présidente du Jury des courts-métrages et de la Cinéfondation du Festival de Cannes cette année, la réalisatrice Claire Denis évoque sur ses années à l’IDHEC et le soutien de son directeur Louis Daquin, sa conception du court-métrage, la liberté des films d’écoles et sa responsabilité de jurée, mais aussi aussi ses souvenirs de Cannes dont ceux de son premier film, Chocolat, sélectionné en compétition officielle en 1988.

Morgan Simon : “Courts et longs grandissent en parallèle”

Morgan Simon : “Courts et longs grandissent en parallèle”

Ancien étudiant en scénario à la Femis et auteur de nombreux courts-métrages, Morgan Simon s’est fait connaître par son premier long, « Compte tes blessures » sorti en 2017. Deux ans plus tard, il revient à la forme courte avec « Plaisir Fantôme », un conte fantastique dont le rôle principal est interprété par une actrice X, Anna Polina.

D comme D’un château l’autre

D comme D’un château l’autre

Printemps 2017. Pierre, vingt-cinq ans, étudiant boursier dans une grande école parisienne loge chez Francine, soixante-quinze ans, clouée par le handicap dans un fauteuil roulant. Ils assistent perplexes à la kermesse électorale de l’entre-deux tours qui bat son plein, dehors. Loin de la kermesse électorale, Pierre aide le corps de Francine et Francine essaie de soigner l’âme de Pierre.
Réal. : Emmanuel Marre
Fiction, 40′, 2018
Belgique, France

D’Un château l’autre d’Emmanuel Marre

D’Un château l’autre d’Emmanuel Marre

Emmanuel Marre, que l’on connaissait déjà pour son court-métrage  Le Film de l’été, où il promenait Jean-Benoit Ugeux, quarantenaire suicidaire qui reprend goût à la vie en présence d’un enfant, le long des autoroutes françaises a reçu, ces derniers jours deux Grands Prix au Festival le Court en Dit Long (Centre Wallonie-Bruxelles) et au Festival Côté Court (Pantin) pour son dernier film, D’Un château l’autre.

Yona Rozenkier. Résister & choisir des sujets personnels

Yona Rozenkier. Résister & choisir des sujets personnels

The Dive (Un havre de paix), son premier long-métrage, sélectionné au Festival de Locarno 2019, vient de sortir ce 12 juin en salles grâce à Pyramide Distribution. Tourné en famille avec deux de ses frères (Micha et Yoel), le premier film de Yona Rozenkier, touche à la guerre, au devoir, à la fratrie, aux traumas, au deuil, au sacrifice et à la protection.