D comme Don’t Let It All Unravel
Ne laissons pas notre monde ne tenir qu’à un fil. Raccommodons-le !
Réal. : Sarah Cox
Animation, 2′, 2007
Royaume-Uni
Ne laissons pas notre monde ne tenir qu’à un fil. Raccommodons-le !
Réal. : Sarah Cox
Animation, 2′, 2007
Royaume-Uni
La huitième édition du festival du court métrage d’Altkirch (Alsace) rebaptisée Kino Knock Out (KKO) Festival aura lieu du 15 au 19 avril prochain. Le thème de cette édition 2009, » Entrer dans l’histoire », associera, en plus de 33 courts métrages projetés en compétition, le souvenir des images, l’identité des hommes, et la mémoire des lieux.
John l’ours polaire s’excuse auprès de Karen le pingouin à la suite d’une dispute; puis il prend du thé et un biscuit.
Réal. : Matthew Walker
Animation, 3’30 », 2007
Royaume-Uni
Dans une forêt un lion capture une souris et menace de la dévorer. Celle-ci lui propose un marché.
Réal. : Benjamin Renner
Animation, 4’10 », 2007
France
Un enfant réussit à apprivoiser un gros loup blanc pour en faire sa monture. Son petit frère et lui sont ravis. Mais pour nourrir sa famille, le père ramène de la chasse un gibier plus gros que d’habitude, un loup blanc…
Réal. : Pierre-Luc Granjon
Animation, 8’10″, 2006
France
Un homme et son fils vivent au sommet d’un pic escarpé. Le seul accès au monde extérieur se fait par un pont ; celui-ci étant détruit, les deux personnages sont entièrement isolés du reste de l’humanité. Le père a veillé à tenir son fils éloigné des réalités du monde des hommes. Mais une nuit, l’enfant aperçoit au loin, en bas de la falaise, une ville dont les lumières brillent. Il devient alors fasciné par cette ville, dont son père veut le préserver à tout prix.
Réal. : Vincent Bierrewaerts
Animation, 14′, 2007
Belgique, France
Un homme est en prison. Son compagnon de cellule est torturé jusqu’à la mort. Quand ses geôliers viennent le chercher à son tour, il parvient à s’enfuir dans l’enceinte du bâtiment. Geste désespéré car il s’agit d’un vrai labyrinthe. Il échappe pourtant à ses poursuivants jusqu’au toit du bâtiment. Du haut des miradors, un militaire le tient en joue. Là il exprime devant eux toute la mesure de sa liberté.
Réal.: Arnaud Demuynck
Animation, 10′, 2007, France, Belgique
À l’image de ses éditions précédentes, Anima a consacré, cette année, une de ses séances au Cartoon d’Or. Unique prix européen récompensant un court métrage d’animation, il offre au lauréat l’opportunité de se lancer dans un projet plus ambitieux tel un long métrage ou une série télévisée. L’initiative comporte une particularité, mais aussi une limite : seuls les films récompensés dans l’un des principaux festivals européens d’animation peuvent concourir au Cartoon d’Or. Cette année, 5 finalistes avaient été retenus, par un jury de réalisateurs, parmi 32 films d’animation primés en festival. Présentation des nominés.
Dans le cadre des Midis du Cinéma, un programme de courts articulé autour du thème « Un peu d’Afrique…. » sera présenté au cinéma Arenberg (Bruxelles), le mardi 28 Avril, à 12h00.
Sensible aux histoires et à la magie, Helen Nabarro, est responsable du Département Animation à la National Film and Television School (NFTS), une des écoles d’animation les plus réputées d’Angleterre. Venue en coup de vent à Anima, elle y a présenté une sélection de films d’étudiants des cinq dernières années. Discussion autour du cinéma d’animation anglais, de la place du spectateur, et de l’influence de l’audience.
Certes, c’est la crise, le réchauffement de la planète, la catastrophe écologique, les émeutes de la faim, la guerre en Irak, au Darfour, au Congo, à Madagascar, en France (ben oui, les amis, en France aussi !)… Certes, certes, certes ! Et quand bien même, pas un seul des courts métrages belges d’animation présentés à Anima cette année ne s’ancrait dans le réel de nos jours difficiles – « Persepolis » est loin des préoccupations de notre plat pays dirait-on -, la plupart de ces films pourtant, étaient tristes, mais d’un triste ! – version condition de l’homme moderne, ab abstracto, entre solitude, folie, isolement, dérèglement, absurde…
À la tombée de la nuit, Jack quitte son appartement. Au club de jazz du coin, il rencontre une très jolie jeune femme, Jill. Ils prennent un verre ensemble… Jack se noie dans son regard… Elle l’entraîne à l’extérieur de la ville, dans une folle virée nocturne qui les amènent aux portes d’un cimetière.
Réal. : Anton Setola
Animation, 7′, 2008
Belgique, France
Paola travaille dans une usine ou elle pond des oeufs à longueur de journée. Un jour, elle reçoit une carte postale de sa cousine qui travaille dans une ferme. Paola décide de la rejoindre..
Réal. : Louise-Marie Colon
Animation, 5’25 », 2008
Belgique
Quand les copines de Beryl l’emmènent dans un club de strip-tease masculin pour son anniversaire, celle-ci ramène un souvenir à la maison.
Réal. : Joanna Quinn
Animation, 6′, 1988
Royaume-Uni
Quatre garçonnets s’aventurent dans une maison lugubre malgré l’interdiction de leurs parents.
Réal. : Jonathan Hodgson
Animation, 5′, 1999
Royaume-Uni
Bukowski : Trois divines syllabes aux senteurs nicotinées et aux vapeurs éthyliques. Souffrances, scandales et sexes sont les S qui parsèment toute l’œuvre du poète américain. Il y a du Gainsbarre chez Charles, et du Baudelaire aussi, Baudelaire dont il partage le prénom, les initiales et le goût de la provocation. Ses « Fleurs du Mal » à lui , il les a plantées dans chacun des vers incisifs et étonnants de simplicité de « The man with the beautiful eyes ».
Dans le milieu de l’animation, l’univers mordant, décalé et très « féminin » de Joanna Quinn fait mouche. Véritable artisan du cinéma dessiné, la cinéaste galloise croque sans pudeur, depuis plus de 20 ans, les rondeurs sympathiques de personnages singuliers à l’humour « so british ».
Quand on aime, on ne compte pas. Cinergie.be invite, pour sa soirée printanière, à une série de projection de sept courts métrages qui vont de l’animation au clip musical, en passant par l’expérimental et le drame. Sept films, qui témoignent de la santé éclectique du cinéma belge des deux côtés de la frontière linguistique, de sept réalisateurs, présents à la projection, qui font ou feront bientôt l’actualité des salles.
Sous le balcon de sa belle, un troubadour vient chanter sa romance en wallon. Soudain, le sous-titre du film, excédé par les paroles niaises de la chanson, se rebelle contre autant de guimauve. Jusqu’à ce qu’il tombe, lui aussi, sous le charme de la belle.
Réal. : Benoît Féroumont
Animation, 12’48”, 2007
Belgique
Le voyageur s’exclame alors : « Malheur à ceux qui se contentent de peu ».
Réal. : Johan Pollefoort
Animation, 06’20”, 2007
Belgique