Soirée Bref : Par-delà les frontières
Un mardi par mois, le cinéma MK2 Quai de scène accueille la soirée Bref, une sélection de courts de la rédaction du Magazine Bref. Prochain rendez-vous, ce mardi 12 janvier, autour de quatre films.
Un mardi par mois, le cinéma MK2 Quai de scène accueille la soirée Bref, une sélection de courts de la rédaction du Magazine Bref. Prochain rendez-vous, ce mardi 12 janvier, autour de quatre films.
Ayant quitté sa famille et ses proches pour suivre ses études d’avocat, Samir retourne dans son quartier d’origine pour assister à la circoncision de son petit frère.
Réal. : Nassim Amaouche
Fiction, 29’23’’, 2003
France
Dans la rue commerçante la plus animée du quartier chinois, Delfino se débat dans les formalités pour obtenir la nationalité américaine, John se démène pour obtenir un permis de construire et Vito vient enfin de gagner le gros lot. Ici, on peut vraiment faire fortune et profiter de tout ce qui s’offre à vous.
Réal. : Damian John Harper
Documentaire, 55’, 2008, Allemagne
Un train entre dans une fabrique de savon. A l’intérieur: des immigrés clandestins. L’une d’eux quitte le train. Dans l’usine, elle trouve du secours, de l’aide et de la solidarité.
Réal. : Elisa Miller
Fiction, 26’, 2008
Mexique
Les interviews de directeurs artistiques se poursuivent sur Format C. Après Bernard Boulad du Festival de Brest, c’est au tour de Luc Engélibert des Rencontres Henri Langlois de s’exprimer sur le court en général, et les films d’écoles en particulier. Entretien-brasserie, Place du Trocadéro, en compagnie du bruit, du thé, et des changements de service.
Vous habitez en Aquitaine, Midi-Pyrénées ou Limousin ? Vous avez entre 12 et 20 ans ? Vous avez des choses à dire sur l’immigration et la diversité culturelle ? Imaginez un film!
Eté, automne, hiver… Depuis quelques saisons, les quelques photos restaient très discrètes. Délaissées au profit d’autres images, elles reviennent intimidées, en ce début d’année, à dix-sept, pour figurer dans l’album de Poitiers.
L’Ecole nationale supérieure Louis-Lumière propose une formation initiale professionnalisante, à la fois théorique et pratique, technique et artistique, propre à satisfaire les attentes des professions de l’image et du son. Elle dispense un enseignement dans le cadre de trois sections – cinéma, son, photographie – sanctionné par un diplôme de niveau Bac +5. Les inscriptions au concours 2010 sont ouvertes jusqu’au 19 février 2010.
Rúnar Rúnarsson est de retour. Celui qui aurait eu le cancer ou des hémorroïdes s’il n’avait pas fait de cinéma a probablement trinqué à la brennivín (alcool de pomme de terre) en apprenant qu’« Anna », son dernier film, très côté en festival depuis sa sélection à la Quinzaine des Réalisateurs, avait remporté le Grand Prix du Jury aux dernières Rencontres Henri Langlois. Tout comme « Smáfuglar », son précédent court, « Anna » est un film profondément personnel et juste, nourri de transitions, de choix, d’absences, de puretés, et d’émotions contrastées.
Il était une fois une autre année, un autre mois, et un autre festival. En décembre Zéro Neuf, à l’instar des éditions précédentes, les 32èmes Rencontres Henri Langlois mettaient à l’honneur les écoles de cinéma, les films d’étudiants, et les jeunes réalisateurs. Créé à Tours par Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française, le festival, initialement consacré aux films de fin d’études, s’est ouvert en l’an 2000 à tous les films d’écoles, sans distinctions d’années ou de cursus.
Trois films, trois histoires, trois femmes perdues dans la ville. Voici Babelle, un projet né d’une rencontre entre trois courts métrages : “Ata”, de Cagla Zencirci et Guillaume Giovanetti (2007, 26′) “Taxi Wala”, de Lola Frederich (2007, 16′), et “Corps étrangers”, de Naël Marandin (2007, 20′). Individuels à l’origine, ils sont réunis le temps d’une projection à Paris. Plus qu’une juxtaposition de trois métrages, ils se répondent, par leurs côtés intimes, personnels, et féminins.
Dans un endroit désert, un homme et une femme se retrouvent fréquemment : amour, mystère, destin…
Réal. : Chester Dent
Fiction, 12′, 1991
Royaume-Uni
Une nuit avec Romo, un garçon moitié anglais, moitié pakistanais, qui vit dans un quartier blanc et pauvre de la ville. Considéré comme un Blanc, il s’interroge sur sa réelle identité lorsque son gang s’en prend à un jeune Asiatique.
Réal. : Yousaf Ali Khan
Fiction, 13′, 2001
Royaume-Uni
Le « bout d’essai » d’une jeune comédienne, Emilie Muller.
Réal. : Yvon Marciano
Fiction, 20’24, 1993
France
À l’occasion de ses 20 ans, le Festival de Brest a eu la douce idée d’éditer, en 2005, un DVD « Spécial Anniversaire », en partenariat avec la revue Repérages. En présentant un large éventail de films venus de toute l’Europe, ce Festival est devenu une formidable passerelle entre les pays et les œuvres d’ici et d’ailleurs, pour le plus grand plaisir des cinéphiles et du grand public. Coups de projecteur, de parapluie, et de cœur, sur la présente sélection.
Avec « Finding Home », Christopher Daley, diplômé de KASK, livre un portrait franc, cru et poignant de la guerre. Film de fin d’études d’une grande maturité, « Finding Home » se lit surtout comme un témoignage de première main, en même temps qu’il relève maintes questions sur la nature néfaste et déshumanisante des conflits militaires.
Un premier sergent du Corps des Marines des États-Unis approche de la retraite après 19 ans de service actif, incluant trois missions en Irak. Il rentre dans sa ville natale. Petit à petit, les effets de la guerre refont surface.
Réal. : Christopher Daley
Documentaire, 25’30, 2008
Belgique
Un mannequin de vitrine qui s’est pris pour un homme nous raconte les 30 années de sa tragique existence.
Réal. : Raphaël Lambert, Romain Winkler
Fiction expérimentale, 18′, 2007
France
« Ill figure » de Raphaël Lambert et Romain Winkler, tous deux sortis de l’ESAV, est une autobiographie posthume d’un mannequin de vitrine chimérique qui surfe sur les vagues d’un post-modernisme tragi-comique en évitant avec brio les écueils du cliché bateau. Dernier film de Côté Court # 2, le film fait preuve d’un éclectisme exaltant.
L’association Les Vidéophages (Toulouse) est née du désir de faire partager des émotions cinématographiques, d’expériences diverses autour de la création audiovisuelle dite «indépendante», de l’envie de créer des rencontres et de provoquer des échanges. Le 04 janvier, à 20h30, l’association proposera aux Pavillons sauvages, des films d’atelier, une avant-première du festival Concours de Courts, des images d’ailleurs, un voyage, de la danse, et de la musique.