Le Festival du film coréen (FFCP) à Paris revient pour sa 18ème édition. Un événement qui se tient du 31 octobre au 7 novembre au Publicis Cinémas (129, avenue des Champs-Elysées) et qui propose aux spectateurs une autre vision de la Corée.
Au menu, un focus sur Lim Oh Jeong (avec la projection, en sa présence, de Hail to hell, Empty lies, No more no less, The Shelter et Call if you need me) et une sélection de films de genres divers (comédie romantique, fantastique ou policier, parmi d’autres).
Le court-métrage, bien sûr, est à l’honneur, avec des séances spéciales les 3, 4 et 5 novembre respectivement à 18h50, 14h45 et à 18h30. Et, en prime une séance spéciale horreur (« strangecuts ») le 2 novembre à 20h50 et une autre à destination des enfants (« shortcutskids ») le 2 novembre à 14h30, où il sera beaucoup question d’animation, avec un titre évocateur « young, wild and free ». Parmi ces films d’animation, beaucoup mettent à l’honneur le rêve, comme Samsara de Joo Hyun-joon, ou mettent en scène notre rapport ambigu avec les objets qui nous envahissent et détériorent l’air que nous respirons. Ainsi de The Isle of trash de Choi Yeoleum ou de Overlapping Universe de OK Seyoung.
Parmi les courts-métrages destinés aux plus grands, la question du temps revient comme un leitmotiv à la séance de 14h45 du 4 novembre, avec par exemple Resilience de Choi Yunie ou The Sea on the days when the magic returns de Han Ji-won. Celle de 18h30 le 3 novembre nous embarquera pour sa part dans un monde volontiers absurde, tandis que celle de 18h30 le 5 s’interrogera sur le monde contemporain.
La billetterie est ouverte depuis ce lundi et propose des cartes permettant de bénéficier de tarifs préférentiels. Infos : http://www.ffcp-cinema.com/programme#shortcuts
Article associé : notre reportage consacré au festival