Il y a deux ans, notre tout premier Prix Format Court remis au Festival IndieLisboa au sein de la section « Silvestre », distinguait « The Mad Half Hour » du réalisateur argentin Leonardo Brzezicki.
Cette curieuse pépite, ce film à part, à la croisée des genres, drôle et mélancolique à la fois, traitant de l’amour, de la vie, de l’absurde, des rêves mais aussi des ruptures, nous avait profondément plu. Un film dans lequel on chante, on dit des choses insensées, on se cogne contre les poteaux, on aime (ou pas) l’art contemporain, on continue (ou pas) à jouer au tennis et à se lever le matin et où les chats ont (ou pas) trois yeux dans la nuit noire. Un film de ressenti, en noir et blanc, entre fantaisie, fantastique, absurde et existentialiste.
Depuis quelques jours, le film, ayant fait ses débuts à Berlin, est en ligne, et nous ne pouvons que vous inciter à le voir et à (re)lire notre dossier consacré à son auteur pour en savoir plus sur notre coup de coeur de la semaine, récompensé d’un Prix Format Court il y a 2 ans.
The Mad Half Hour de Leonardo Brzezicki, Fiction, 22′, Argentine, Danemark, 2015, Rewind my future
Synopsis : “The Mad Half Hour” laisse émerger les doutes existentiels d’un jeune couple dans les rues de Buenos Aires.